FrancoEchoPro
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Un cambriolage spectaculaire au musée du Louvre, c'est tout à fait prévisible. Le musée a été pris pour cible dimanche 19 octobre en début de matinée, par des malfaiteurs qui ont réussi à s'enfuir avec huit bijoux de grande valeur.
Le spectacle était à la fois technique et audacieux. Les voleurs ont utilisé une nacelle pour atteindre la galerie d'Apollon, ce qui a permis à plusieurs d'eux de se frayer un chemin dans le musée sans être détectés par les agents de sécurité. Une fois sur place, ils ont commencé par fracturer la fenêtre et réserver le même sort aux deux vitrines où se trouvaient des bijoux.
La police technique et scientifique a rapidement pris le relais pour enquêter sur l'affaire. Le ministère de la Culture a confirmé que les malfaiteurs ont volé des bijoux "d'une valeur inestimable", dont notamment un diadème de la parure de la reine Marie-Amélie, une paire de boucles d'oreilles en émeraudes de la parure de Marie-Louise et une broche dit roche reliquaire.
L'enquête est menée par la Brigade de répression du banditisme (BRB) de la police judiciaire de la Préfecture de police de Paris, avec le soutien de l'Office central de lutte contre le trafic de biens culturels (OCBC). Au total, une soixantaine d'enquêteurs sont mobilisés pour retrouver les auteurs et les bijoux.
L'hypothèse privilégiée est celle de la criminalité organisée. Les voleurs ont peut-être agi au bénéfice d'un commanditaire ou avec l'objectif d'acheter des pierres précieuses pour pratiquer des opérations de blanchiment. La police travaille également à l'idée qu'il y ait eu une complicité entre les malfaiteurs et des personnes qui ont pu leur fournir des informations sur le musée.
Emmanuel Macron a réagi à l'affaire en déclarant que le vol commis au Louvre est une atteinte à un patrimoine que nous chérissons car il est notre Histoire. Il assure que les oeuvres seront retrouvées et que "les auteurs seront traduits en justice".
Le spectacle était à la fois technique et audacieux. Les voleurs ont utilisé une nacelle pour atteindre la galerie d'Apollon, ce qui a permis à plusieurs d'eux de se frayer un chemin dans le musée sans être détectés par les agents de sécurité. Une fois sur place, ils ont commencé par fracturer la fenêtre et réserver le même sort aux deux vitrines où se trouvaient des bijoux.
La police technique et scientifique a rapidement pris le relais pour enquêter sur l'affaire. Le ministère de la Culture a confirmé que les malfaiteurs ont volé des bijoux "d'une valeur inestimable", dont notamment un diadème de la parure de la reine Marie-Amélie, une paire de boucles d'oreilles en émeraudes de la parure de Marie-Louise et une broche dit roche reliquaire.
L'enquête est menée par la Brigade de répression du banditisme (BRB) de la police judiciaire de la Préfecture de police de Paris, avec le soutien de l'Office central de lutte contre le trafic de biens culturels (OCBC). Au total, une soixantaine d'enquêteurs sont mobilisés pour retrouver les auteurs et les bijoux.
L'hypothèse privilégiée est celle de la criminalité organisée. Les voleurs ont peut-être agi au bénéfice d'un commanditaire ou avec l'objectif d'acheter des pierres précieuses pour pratiquer des opérations de blanchiment. La police travaille également à l'idée qu'il y ait eu une complicité entre les malfaiteurs et des personnes qui ont pu leur fournir des informations sur le musée.
Emmanuel Macron a réagi à l'affaire en déclarant que le vol commis au Louvre est une atteinte à un patrimoine que nous chérissons car il est notre Histoire. Il assure que les oeuvres seront retrouvées et que "les auteurs seront traduits en justice".