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L'industrie du captagon en Syrie résiste à tout changement, malgré la promesse du nouveau ministre de l'Intérieur d'avoir mis fin à la production de cette drogue de synthèse. Un mois après les déclarations de Khattab, une saisie massive de 3 millions de pilules a eu lieu près de Damas, montrant que le régime est loin d'être à la traîne pour éliminer ce commerce illicite.
La production et le trafic de captagon avaient prospéré sous l'égide du président Bachar El-Assad. Il s'agissait en partie de financer des milices pro-iraniennes, telles que le Hezbollah libanais, reconnues pour leur implication dans la contrebande à travers le Moyen-Orient.
Selon les experts internationaux, il n'y a plus d'usine produisant du captagon sur le territoire syrien. Cependant, des petits ateliers clandestins peuvent être facilement mis en place et déplacés d'un endroit à l'autre, permettant aux trafiquants de continuer leur activité.
Le trafic de captagon est un enjeu financier majeur pour les groupes impliqués. "Il continue d'y avoir des petits groupes qui se déplacent d'un endroit à l'autre pour monter des ateliers mobiles", souligne Nicholas Krohley, fondateur et dirigeant de l'agence de consultants FrontLine Advisory en Suisse.
Les stocks existants peuvent être encore écouler, ce qui indique que les efforts pour limiter le trafic de captagon sont loin d'être terminés.
La production et le trafic de captagon avaient prospéré sous l'égide du président Bachar El-Assad. Il s'agissait en partie de financer des milices pro-iraniennes, telles que le Hezbollah libanais, reconnues pour leur implication dans la contrebande à travers le Moyen-Orient.
Selon les experts internationaux, il n'y a plus d'usine produisant du captagon sur le territoire syrien. Cependant, des petits ateliers clandestins peuvent être facilement mis en place et déplacés d'un endroit à l'autre, permettant aux trafiquants de continuer leur activité.
Le trafic de captagon est un enjeu financier majeur pour les groupes impliqués. "Il continue d'y avoir des petits groupes qui se déplacent d'un endroit à l'autre pour monter des ateliers mobiles", souligne Nicholas Krohley, fondateur et dirigeant de l'agence de consultants FrontLine Advisory en Suisse.
Les stocks existants peuvent être encore écouler, ce qui indique que les efforts pour limiter le trafic de captagon sont loin d'être terminés.