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L'armée israélienne a entamé ce dimanche un nouveau cycle d'inondations dans la bande de Gaza, avec des dizaines de frappes menées contre l'enclave palestinienne. Le mouvement Hamas avait démenti avoir attaqué des positions d'Israël, mais les forces israéliennes ont répondu à « une violation flagrante du cessez-le-feu ». Les bombardements ont fait au moins 45 morts, dont six personnes tuées dans une frappe israélienne à Al-Zawaida, selon le porte-parole de la Défense civile de Gaza.
L'armée israélienne a précisé avoir procédé à 120 frappes sur 83 cibles, notamment à Rafah et Beit Lahia. Des stocks d'armes et des tunnels ont été visés. Le mouvement Hamas a accusé l'État hébreu d'inventer des prétextes pour reprendre son offensive à Gaza.
Le cessez-le-feu avait été interrompu brièvement ce dimanche, mais l'armée israélienne a annoncé de nouveau de suspendre ses frappes. Le Hamas a réaffirmé son engagement total à mettre en œuvre tout ce qui a été convenu, mais accuse l'État hébreu d'intensifier sa campagne militaire pour contrôler la bande de Gaza.
Une aide humanitaire suspendue
L'entrée de l'aide humanitaire dans la bande de Gaza a été suspendue jusqu'à nouvel ordre. Une décision prise en réponse à « une violation flagrante du cessez-le-feu » par le Hamas. L'ONG Première urgence internationale a dénoncé cette décision comme une catastrophe pour la population civile, qui risque d'être privée de l'aide humanitaire essentielle.
Une guerre psychologique
L'aide humanitaire suspendue est également considérée comme une guerre psychologique contre la population gazaouie et les humanitaires. « C'est aussi une question de déstabilisation », a affirmé Elsa Softic, adjointe au directeur des opérations de l'ONG Première urgence internationale.
Regain de tension en Cisjordanie
La situation se tend également en Cisjordanie, où les forces spéciales israéliennes ont mené une intervention dans le camp de réfugiés d'Al Aïn. Des tirs ont été entendus par les habitants et ont été fatals pour un homme de 42 ans. Un peu plus tôt dans la nuit, l'armée israélienne avait mené une opération d'envergure dans la ville de Tubas, déployant plusieurs unités d'infanterie précédées de bulldozers.
La multiplication de ces raids et la poursuite de la colonisation font craindre une nouvelle escalade militaire en Cisjordanie occupée.
L'armée israélienne a précisé avoir procédé à 120 frappes sur 83 cibles, notamment à Rafah et Beit Lahia. Des stocks d'armes et des tunnels ont été visés. Le mouvement Hamas a accusé l'État hébreu d'inventer des prétextes pour reprendre son offensive à Gaza.
Le cessez-le-feu avait été interrompu brièvement ce dimanche, mais l'armée israélienne a annoncé de nouveau de suspendre ses frappes. Le Hamas a réaffirmé son engagement total à mettre en œuvre tout ce qui a été convenu, mais accuse l'État hébreu d'intensifier sa campagne militaire pour contrôler la bande de Gaza.
Une aide humanitaire suspendue
L'entrée de l'aide humanitaire dans la bande de Gaza a été suspendue jusqu'à nouvel ordre. Une décision prise en réponse à « une violation flagrante du cessez-le-feu » par le Hamas. L'ONG Première urgence internationale a dénoncé cette décision comme une catastrophe pour la population civile, qui risque d'être privée de l'aide humanitaire essentielle.
Une guerre psychologique
L'aide humanitaire suspendue est également considérée comme une guerre psychologique contre la population gazaouie et les humanitaires. « C'est aussi une question de déstabilisation », a affirmé Elsa Softic, adjointe au directeur des opérations de l'ONG Première urgence internationale.
Regain de tension en Cisjordanie
La situation se tend également en Cisjordanie, où les forces spéciales israéliennes ont mené une intervention dans le camp de réfugiés d'Al Aïn. Des tirs ont été entendus par les habitants et ont été fatals pour un homme de 42 ans. Un peu plus tôt dans la nuit, l'armée israélienne avait mené une opération d'envergure dans la ville de Tubas, déployant plusieurs unités d'infanterie précédées de bulldozers.
La multiplication de ces raids et la poursuite de la colonisation font craindre une nouvelle escalade militaire en Cisjordanie occupée.