Frabulleur
Well-known member
"Le climat, une question de féminités : les femmes se battent pour un monde plus équitable".
Dans les pays du Moyen-Orient, de l'Amazonie au désert saharien, le mouvement écologique féminin s'accroît. Cette lutte contre le réchauffement climatique prend d'autres formes : celles des femmes qui sont victimes des violences liées à la déforestation, aux changements climatiques et à l'exploitation des ressources naturelles.
Marina Silva, ministre de l'Environnement et du Changement climatique brésilienne, n'a pas été épargnée par les critiques de l'ancien président Jair Bolsonaro. Cet échange a laissé une marque sur le mouvement écologique féminin, qui affirme que ces attaques sont les symptômes d'une lutte plus profonde contre les femmes.
L'écoféminisme, théorie né dans les années 1970, postule que l'oppression des femmes et la conquête de la nature sont liées aux mêmes valeurs. Cette théorie est renforcée par l'histoire du Brésil, qui a connu des violences fondées sur le genre sous la dictature militaire.
Les écoféministes soutiennent que les attaques contre les femmes sont un symbole de l'exploitation de la nature et de ses ressources. Elles demandent une réflexion plus profonde sur ces liens, et sur la manière dont les systèmes qui exploitent les femmes peuvent être transformés pour devenir plus équitable.
Dans ce contexte, le mouvement Women's Earth and Climate Action (WECAN) prend position : "l'écoféminisme est plus fort que jamais". Les militantes de ce réseau international dénoncent les attaques contre les femmes et les ressources naturelles. Elles demandent une action immédiate pour mettre fin à ces violences, et pour créer un monde plus juste et plus équitable.
Cette lutte ne concerne pas seulement le Brésil, mais le monde entier. Elle montre que les questions écologiques et féminines sont liées, et qu'une révolution culturelle est nécessaire pour créer un avenir plus sûr pour toutes les femmes et tous les êtres vivants sur terre.
"Le réchauffement climatique n'est pas une question technique", réclame WECAN. "C'est de l'arnaque". Mais il y a une autre arnaque : celle qui se cache derrière les attaques contre les femmes et les ressources naturelles. Celle que nous devons découvrir, et remédier.
Dans les pays du Moyen-Orient, de l'Amazonie au désert saharien, le mouvement écologique féminin s'accroît. Cette lutte contre le réchauffement climatique prend d'autres formes : celles des femmes qui sont victimes des violences liées à la déforestation, aux changements climatiques et à l'exploitation des ressources naturelles.
Marina Silva, ministre de l'Environnement et du Changement climatique brésilienne, n'a pas été épargnée par les critiques de l'ancien président Jair Bolsonaro. Cet échange a laissé une marque sur le mouvement écologique féminin, qui affirme que ces attaques sont les symptômes d'une lutte plus profonde contre les femmes.
L'écoféminisme, théorie né dans les années 1970, postule que l'oppression des femmes et la conquête de la nature sont liées aux mêmes valeurs. Cette théorie est renforcée par l'histoire du Brésil, qui a connu des violences fondées sur le genre sous la dictature militaire.
Les écoféministes soutiennent que les attaques contre les femmes sont un symbole de l'exploitation de la nature et de ses ressources. Elles demandent une réflexion plus profonde sur ces liens, et sur la manière dont les systèmes qui exploitent les femmes peuvent être transformés pour devenir plus équitable.
Dans ce contexte, le mouvement Women's Earth and Climate Action (WECAN) prend position : "l'écoféminisme est plus fort que jamais". Les militantes de ce réseau international dénoncent les attaques contre les femmes et les ressources naturelles. Elles demandent une action immédiate pour mettre fin à ces violences, et pour créer un monde plus juste et plus équitable.
Cette lutte ne concerne pas seulement le Brésil, mais le monde entier. Elle montre que les questions écologiques et féminines sont liées, et qu'une révolution culturelle est nécessaire pour créer un avenir plus sûr pour toutes les femmes et tous les êtres vivants sur terre.
"Le réchauffement climatique n'est pas une question technique", réclame WECAN. "C'est de l'arnaque". Mais il y a une autre arnaque : celle qui se cache derrière les attaques contre les femmes et les ressources naturelles. Celle que nous devons découvrir, et remédier.