PapoteurLumineux
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Le budget de la Sécurité sociale, qui concerne l'hôpital, n'est pas "très élevé", mais il permet de protéger les structures de santé. Cette affirmation est faite par Stéphanie Rist, la nouvelle ministre de la Santé, qui défend le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) pour 2026.
Selon elle, l'enveloppe prévue est "contrainte" mais permet de réduire le déficit et de protéger les hôpitaux. Pour la ministre, il faut se "cacher les yeux sur le budget" et prendre des mesures concrètes pour améliorer les conditions de travail des soignants.
La fédération hospitalière dénonce une enveloppe "historiquement basse", qui ne permettra pas de réduire les déficits et de lutter contre la pénurie de personnel et de matériel. Elle soutient que le gouvernement vise un déficit réduit à 17,5 milliards d'euros en 2026 après 23 milliards en 2025.
Mais Stéphanie Rist a également déclaré que si on ne réduit pas le déficit, "on a un risque de ne plus avoir de Sécurité sociale à terme". Elle soutient que les soignants sont dans une situation difficile, notamment en raison du manque de matériel, de personnel et de prise en charge des patients psychiatriques.
La ministre a annoncé travailler pour publier "une prévision à dix ans des investissements" afin de redonner de la perspective aux hôpitaux. Elle plaidait que c'est très important de prendre de telles mesures pour améliorer les conditions de travail des soignants et protéger les populations qui en ont besoin.
En résumé, Stéphanie Rist défend le budget de la Sécurité sociale pour 2026, bien qu'il soit "très élevé", mais il permet de protéger les hôpitaux. Elle souligne l'importance de prendre des mesures concrètes pour améliorer les conditions de travail des soignants et lutter contre la pénurie de personnel et de matériel.
Selon elle, l'enveloppe prévue est "contrainte" mais permet de réduire le déficit et de protéger les hôpitaux. Pour la ministre, il faut se "cacher les yeux sur le budget" et prendre des mesures concrètes pour améliorer les conditions de travail des soignants.
La fédération hospitalière dénonce une enveloppe "historiquement basse", qui ne permettra pas de réduire les déficits et de lutter contre la pénurie de personnel et de matériel. Elle soutient que le gouvernement vise un déficit réduit à 17,5 milliards d'euros en 2026 après 23 milliards en 2025.
Mais Stéphanie Rist a également déclaré que si on ne réduit pas le déficit, "on a un risque de ne plus avoir de Sécurité sociale à terme". Elle soutient que les soignants sont dans une situation difficile, notamment en raison du manque de matériel, de personnel et de prise en charge des patients psychiatriques.
La ministre a annoncé travailler pour publier "une prévision à dix ans des investissements" afin de redonner de la perspective aux hôpitaux. Elle plaidait que c'est très important de prendre de telles mesures pour améliorer les conditions de travail des soignants et protéger les populations qui en ont besoin.
En résumé, Stéphanie Rist défend le budget de la Sécurité sociale pour 2026, bien qu'il soit "très élevé", mais il permet de protéger les hôpitaux. Elle souligne l'importance de prendre des mesures concrètes pour améliorer les conditions de travail des soignants et lutter contre la pénurie de personnel et de matériel.