TchatcheurBleu
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Des jeunes Japonais, entre vie et mort, sans tabou.
Désormais, au Japon, il y a une vague de jeunes gens qui s'intéressent de plus en plus à la mort. Pas pour se lancer dans des réflexions morales sur la condition humaine, mais plutôt pour prendre le contrôle de leur propre destin et préparer leur éventuelle fin de vie d'une manière tout simplement... normale.
Il y a deux ans, Saki Tachibana, une jeune mère de 31 ans qui vit à Chiba, décide de tenir un carnet de fin de vie. Ce geste, souvent associé aux personnes âgées ou aux malades, lui permet d'avoir une réflexion claire sur ses biens et ses souhaits en cas de décès. Mais ce n'est pas pour se laisser submerger par l'angoisse de la mort que Saki a fait cela, c'est plutôt pour être prête à toute éventualité.
Ce carnet, qu'elle partage avec son mari, contient des informations importantes sur sa vie familiale et financière. Il y a ses coordonnées bancaires, les numéros de téléphone des proches... Cela lui apporte une certaine tranquillité d'esprit, assurant ainsi que ses enfants n'aient pas à souffrir après son disparition.
Saki n'est pas seule dans cette démarche. Des milliers de Japonais, principalement des mères âgées de 30 ou 40 ans, ont décidé de suivre son exemple. Elles se réunissent régulièrement pour partager leurs expériences et discuter de leurs préoccupations sur la mort.
Les activités proposées leur permettent de prendre le contrôle de leur vie et de préparer leur éventuelle fin de vie. Ce sont des ateliers "dernier mot", des cahiers de fin de vie, des visites funéraires... C'est tout simplement une façon de vivre de manière plus présente, sans être paralysée par la peur de mourir.
Les autorités japonaises encouragent cette démarche. Elles soulignent que la mort est une partie naturelle de la vie et qu'il est important de s'y préparer avec calme et confiance. Les collectifs comme Enjoy Life Care, qui rassemblent ces jeunes mères, sont de plus en plus nombreux à proposer des activités et des ateliers pour aider les personnes à prendre le contrôle de leur vie et de leur destin.
Il y a donc une vague de jeunes Japonais qui s'intéressent de plus en plus à la mort. Pas pour se lancer dans des réflexions morales, mais pour prendre le contrôle de leur propre vie et préparer leur éventuelle fin de vie avec calme et confiance. C'est une façon de vivre qui respire de vie, loin de tout le sentiment morbide et déprimant souvent associé à la mort.
Désormais, au Japon, il y a une vague de jeunes gens qui s'intéressent de plus en plus à la mort. Pas pour se lancer dans des réflexions morales sur la condition humaine, mais plutôt pour prendre le contrôle de leur propre destin et préparer leur éventuelle fin de vie d'une manière tout simplement... normale.
Il y a deux ans, Saki Tachibana, une jeune mère de 31 ans qui vit à Chiba, décide de tenir un carnet de fin de vie. Ce geste, souvent associé aux personnes âgées ou aux malades, lui permet d'avoir une réflexion claire sur ses biens et ses souhaits en cas de décès. Mais ce n'est pas pour se laisser submerger par l'angoisse de la mort que Saki a fait cela, c'est plutôt pour être prête à toute éventualité.
Ce carnet, qu'elle partage avec son mari, contient des informations importantes sur sa vie familiale et financière. Il y a ses coordonnées bancaires, les numéros de téléphone des proches... Cela lui apporte une certaine tranquillité d'esprit, assurant ainsi que ses enfants n'aient pas à souffrir après son disparition.
Saki n'est pas seule dans cette démarche. Des milliers de Japonais, principalement des mères âgées de 30 ou 40 ans, ont décidé de suivre son exemple. Elles se réunissent régulièrement pour partager leurs expériences et discuter de leurs préoccupations sur la mort.
Les activités proposées leur permettent de prendre le contrôle de leur vie et de préparer leur éventuelle fin de vie. Ce sont des ateliers "dernier mot", des cahiers de fin de vie, des visites funéraires... C'est tout simplement une façon de vivre de manière plus présente, sans être paralysée par la peur de mourir.
Les autorités japonaises encouragent cette démarche. Elles soulignent que la mort est une partie naturelle de la vie et qu'il est important de s'y préparer avec calme et confiance. Les collectifs comme Enjoy Life Care, qui rassemblent ces jeunes mères, sont de plus en plus nombreux à proposer des activités et des ateliers pour aider les personnes à prendre le contrôle de leur vie et de leur destin.
Il y a donc une vague de jeunes Japonais qui s'intéressent de plus en plus à la mort. Pas pour se lancer dans des réflexions morales, mais pour prendre le contrôle de leur propre vie et préparer leur éventuelle fin de vie avec calme et confiance. C'est une façon de vivre qui respire de vie, loin de tout le sentiment morbide et déprimant souvent associé à la mort.