IdéeNomade
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Que se passerait-il si l'alcool disparaissait de la planète pour de bon ? Quelle serait la conséquence pour notre santé, notre société et nos vies quotidiennes ? On imagine un monde sans boisson alcoolisée, où les gens se retrouveraient sans leur rituel social quotidien. Mais quelles seraient les conséquences réelles de ce changement ?
L'absence d'alcool serait une source majeure de gain pour la santé publique. Les maladies et décès liés à l'alcool sont nombreux : il est estimé que 2,6 millions de décès par an dans le monde sont attribuables à l'alcool, soit 5% de la mortalité globale en 2019. L'arrêt de la consommation d'alcool réduirait donc directement la mortalité prématurée.
Mais l'impact n'en serait pas limité à une simple réduction des décès. Les accidents de la route liés à l'alcool seraient également moins fréquents, car près d'un accident mortel sur quatre est déjà responsable d'une consommation excessive d'alcool en France. De plus, les suicides liés à l'alcool sont un problème majeur, et arrêter la consommation pourrait réduire cette mortalité.
Les jeunes seraient également moins concernés par les risques associés à l'alcool, car il est estimé que près d'un décès sur cinq chez les hommes de 25 à 29 ans est attribuable à l'alcool. Les femmes seraient également moins touchées, car selon une étude réalisée en Afrique du Sud, une période d'interdiction totale de vente d'alcool pendant la pandémie de Covid-19 a coïncidé avec une baisse de 63% des féminicides.
La disparition de l'alcool entraînerait également une réduction rapide des accidents de la route. Les infractions liées à l'alcool seraient moins fréquentes, ce qui soulagerait les services d'urgence et réduirait le nombre de personnes emprisonnées pour ces délit.
Enfin, l'alcool est directement lié à la violence et aux violences sexuelles. Les études montrent que près de la moitié des violences sexistes et/ou sexuelles impliquent une consommation d'alcool dans le cadre de la vie universitaire. Une interdiction totale de vente d'alcool réduirait donc ces actes de violence.
Les avantages de l'arrêt de la consommation d'alcool allaient bien au-delà de la santé publique. Les gens se retrouveraient sans leur rituel social quotidien, mais il faudrait également réinventer nos codes sociaux et trouver des alternatives à l'alcool.
Des mocktails ou d'autres boissons sans alcool pourraient remplacer les cocktails traditionnels, et même des molécules de synthèse qui mimeraient les effets désinhibiteurs de l'alcool sans ses méfaits métaboliques seraient développées.
Mais comment arrêter la consommation d'alcool ? La réponse est qu'il faut commencer par modifier notre relation à l'alcool. Il faut accepter que le plaisir des boissons sans alcool peut être tout aussi grand que celui de l'alcool lui-même, et qu'il faut chercher les motivations pour boire moins ou pas du tout.
Enfin, il y a une fiction qui éclaire cette réalité souvent désastreuse : l'idée d'une société sans alcool. Mais en pensant à cette fiction, on peut commencer à imaginer un monde meilleur, où la santé publique et les vies des gens sont valorisées plus que le plaisir d'un verre de boisson alcoolisée.
Et pour ceux qui ont peur de devenir « chiants » s'ils arrêtent l'alcool ? La réponse est non. L'arrêt de consommer de l'alcool ne signifie pas nécessairement une vie sans plaisir, car il existe des alternatives tout aussi amusantes et socialisantes.
En résumé, la disparition de l'alcool dans notre société serait un gain majeur pour la santé publique. Les accidents de la route liés à l'alcool seraient moins fréquents, les suicides liés à l'alcool seraient moins nombreux, et la violence serait moins répandue.
Mais il faudrait également réinventer nos codes sociaux et trouver des alternatives à l'alcool. Des mocktails ou d'autres boissons sans alcool pourraient remplacer les cocktails traditionnels, et même des molécules de synthèse qui mimeraient les effets désinhibiteurs de l'alcool sans ses méfaits métaboliques seraient développées.
L'arrêt de consommer de l'alcool ne signifie pas nécessairement une vie sans plaisir, car il existe des alternatives tout aussi amusantes et socialisantes. Et enfin, il y a une fiction qui éclaire cette réalité souvent désastreuse : l'idée d'une société sans alcool.
Avec cette pensée, nous pouvons commencer à imaginer un monde meilleur, où la santé publique et les vies des gens sont valorisées plus que le plaisir d'un verre de boisson alcoolisée. Un monde où les gens peuvent vivre plus longtemps, sainement et heureusement, sans sacrifier leur bonheur pour un rituel social qui ne vaut que son coût.
L'absence d'alcool serait une source majeure de gain pour la santé publique. Les maladies et décès liés à l'alcool sont nombreux : il est estimé que 2,6 millions de décès par an dans le monde sont attribuables à l'alcool, soit 5% de la mortalité globale en 2019. L'arrêt de la consommation d'alcool réduirait donc directement la mortalité prématurée.
Mais l'impact n'en serait pas limité à une simple réduction des décès. Les accidents de la route liés à l'alcool seraient également moins fréquents, car près d'un accident mortel sur quatre est déjà responsable d'une consommation excessive d'alcool en France. De plus, les suicides liés à l'alcool sont un problème majeur, et arrêter la consommation pourrait réduire cette mortalité.
Les jeunes seraient également moins concernés par les risques associés à l'alcool, car il est estimé que près d'un décès sur cinq chez les hommes de 25 à 29 ans est attribuable à l'alcool. Les femmes seraient également moins touchées, car selon une étude réalisée en Afrique du Sud, une période d'interdiction totale de vente d'alcool pendant la pandémie de Covid-19 a coïncidé avec une baisse de 63% des féminicides.
La disparition de l'alcool entraînerait également une réduction rapide des accidents de la route. Les infractions liées à l'alcool seraient moins fréquentes, ce qui soulagerait les services d'urgence et réduirait le nombre de personnes emprisonnées pour ces délit.
Enfin, l'alcool est directement lié à la violence et aux violences sexuelles. Les études montrent que près de la moitié des violences sexistes et/ou sexuelles impliquent une consommation d'alcool dans le cadre de la vie universitaire. Une interdiction totale de vente d'alcool réduirait donc ces actes de violence.
Les avantages de l'arrêt de la consommation d'alcool allaient bien au-delà de la santé publique. Les gens se retrouveraient sans leur rituel social quotidien, mais il faudrait également réinventer nos codes sociaux et trouver des alternatives à l'alcool.
Des mocktails ou d'autres boissons sans alcool pourraient remplacer les cocktails traditionnels, et même des molécules de synthèse qui mimeraient les effets désinhibiteurs de l'alcool sans ses méfaits métaboliques seraient développées.
Mais comment arrêter la consommation d'alcool ? La réponse est qu'il faut commencer par modifier notre relation à l'alcool. Il faut accepter que le plaisir des boissons sans alcool peut être tout aussi grand que celui de l'alcool lui-même, et qu'il faut chercher les motivations pour boire moins ou pas du tout.
Enfin, il y a une fiction qui éclaire cette réalité souvent désastreuse : l'idée d'une société sans alcool. Mais en pensant à cette fiction, on peut commencer à imaginer un monde meilleur, où la santé publique et les vies des gens sont valorisées plus que le plaisir d'un verre de boisson alcoolisée.
Et pour ceux qui ont peur de devenir « chiants » s'ils arrêtent l'alcool ? La réponse est non. L'arrêt de consommer de l'alcool ne signifie pas nécessairement une vie sans plaisir, car il existe des alternatives tout aussi amusantes et socialisantes.
En résumé, la disparition de l'alcool dans notre société serait un gain majeur pour la santé publique. Les accidents de la route liés à l'alcool seraient moins fréquents, les suicides liés à l'alcool seraient moins nombreux, et la violence serait moins répandue.
Mais il faudrait également réinventer nos codes sociaux et trouver des alternatives à l'alcool. Des mocktails ou d'autres boissons sans alcool pourraient remplacer les cocktails traditionnels, et même des molécules de synthèse qui mimeraient les effets désinhibiteurs de l'alcool sans ses méfaits métaboliques seraient développées.
L'arrêt de consommer de l'alcool ne signifie pas nécessairement une vie sans plaisir, car il existe des alternatives tout aussi amusantes et socialisantes. Et enfin, il y a une fiction qui éclaire cette réalité souvent désastreuse : l'idée d'une société sans alcool.
Avec cette pensée, nous pouvons commencer à imaginer un monde meilleur, où la santé publique et les vies des gens sont valorisées plus que le plaisir d'un verre de boisson alcoolisée. Un monde où les gens peuvent vivre plus longtemps, sainement et heureusement, sans sacrifier leur bonheur pour un rituel social qui ne vaut que son coût.