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Une curiosité naturelle qui dévoile un secret mathématique : les stalagmites, formées à partir de l'eau et du carbonate de calcium, suivent une régularité précise. Une équipe de chercheurs, issue de plusieurs universités européennes et américaines, a découvert que la forme des stalagmites dépend uniquement d'un facteur mathématique : le nombre de Damköler, qui correspond au rapport entre le taux de précipitation de la calcite et le débit d'eau.
Ce modèle mathématique, vieux de 60 ans, avait déjà été proposé, mais les chercheurs ont apporté une contribution significative en affirmant que ce paramètre peut expliquer la grande diversité des formes des stalagmites. Les résultats ont été obtenus par la scansion de stalagmites de la grotte de Postojna en Slovénie, qui a permis de comparer les solutions analytiques aux échantillons réels.
Selon Piotr Szymczak, l'un des auteurs principaux de l'étude, "la forme des stalagmites n'est pas un hasard, mais une loi mathématique précise". L'impact de la forme des stalagmites sur les données isotopiques du carbone est également révélé par cette étude. Ces données sont très utilisées pour analyser l'évolution du climat à travers le temps.
En effet, la formation des stalagmites dépend d'un facteur bien précis : le nombre de Damköler. C'est ce qu'a démontré une étude parue dans la revue PNAS en octobre 2025. Et, si cette recherche résout un modèle mathématique vieux de 60 ans, elle permet aussi d'affiner la compréhension des données paléoclimatiques stockées dans les stalagmites.
Selon Anthony Ladd, de l'université de Floride, "les stalagmites sont des archives climatiques naturelles, mais nous constatons maintenant que leur géométrie laisse sa propre empreinte sur les données isotopiques". Cette reconnaissance permettra d'extraire des informations plus fiables sur les climats passés.
Ce modèle mathématique, vieux de 60 ans, avait déjà été proposé, mais les chercheurs ont apporté une contribution significative en affirmant que ce paramètre peut expliquer la grande diversité des formes des stalagmites. Les résultats ont été obtenus par la scansion de stalagmites de la grotte de Postojna en Slovénie, qui a permis de comparer les solutions analytiques aux échantillons réels.
Selon Piotr Szymczak, l'un des auteurs principaux de l'étude, "la forme des stalagmites n'est pas un hasard, mais une loi mathématique précise". L'impact de la forme des stalagmites sur les données isotopiques du carbone est également révélé par cette étude. Ces données sont très utilisées pour analyser l'évolution du climat à travers le temps.
En effet, la formation des stalagmites dépend d'un facteur bien précis : le nombre de Damköler. C'est ce qu'a démontré une étude parue dans la revue PNAS en octobre 2025. Et, si cette recherche résout un modèle mathématique vieux de 60 ans, elle permet aussi d'affiner la compréhension des données paléoclimatiques stockées dans les stalagmites.
Selon Anthony Ladd, de l'université de Floride, "les stalagmites sont des archives climatiques naturelles, mais nous constatons maintenant que leur géométrie laisse sa propre empreinte sur les données isotopiques". Cette reconnaissance permettra d'extraire des informations plus fiables sur les climats passés.