PapoteurClairX
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L'autofiction, genre littéraire qui consiste à raconter sa propre vie, semble être un terrain miné pour Jean-Christophe Grangé, maître du polar français. Le romancier a toujours été sceptique quant à ce type de littérature et a même exprimé son mépris envers l'autofiction. Mais après avoir publié "Je suis né du diable", son autobiographie, nous savons qu'il n'a pas hésité à remettre au défi les règles et les attentes associées à ce genre.
Dans cet ouvrage, Grangé nous raconte son enfance, marquée par une relation tumultueuse avec son père, un homme violent qui a menacé de tuer sa mère. Le père de Grangé est un personnage fascinant et terrorisant, et le romancier nous donne un aperçu détaillé de la vie qu'il a vécue sous son regard. En alternant les voix de lui-même, de sa mère et de sa grand-mère maternelle, Grangé crée un récit qui est à la fois personnel et universel.
Grangé nous explique que son but était de créer une histoire qui fasse peur, en se plongeant dans les émotions et les expériences de ses personnages. Il a choisi d'écrire cette autobiographie parce qu'il aimait bien s'identifier aux gens menacés, mais pas à ceux qui veulent les détruire. Il nous montre que l'autofiction peut être une forme de littérature puissante et émouvante, capable de révéler des secrets et des peurs profondes.
Le romancier a également dit qu'il n'avait pas eu du mal à composer ce texte si singulier, car il aimait bien raconter sa vie. Il nous explique que l'autofiction est quelque chose de "légère", comme raconter ses vacances en CM2, et que les auteurs actuels ne font plus de ce travail de fiction et ressassent inlassablement les mêmes choses.
Mais Grangé a également parlé des critiques qui pourraient être émises sur son livre. Il nous a dit qu'il n'hésite pas à remettre au défi les attentes associées à l'autofiction, ce qui pourrait plaire aux lecteurs sérieux et ennuyeux. Cependant, il reconnaît que certains pourraient trouver son livre "difficile" ou "contradictoire".
Enfin, Grangé a parlé de ses futurs projets littéraires, notamment un roman sur Tokyo qui est en cours de rédaction. Il nous a dit qu'il aime changer d'époques et de lieux pour trouver son inspiration et que son secret pour éviter le trac et l'angoisse est de se lever chaque matin à 3 heures du matin pour travailler comme un artisan.
En refermant "Je suis né du diable", nous sommes laissés avec une question : comment Grangé va-t-il continuer d'écrire maintenant qu'il nous a dévoilé l'envers du décor de son œuvre ? Le stakhanoviste du polar ne panique pas, car il a déjà fini un roman de 800 pages sur Tokyo et est prêt à commencer un nouveau projet.
Dans cet ouvrage, Grangé nous raconte son enfance, marquée par une relation tumultueuse avec son père, un homme violent qui a menacé de tuer sa mère. Le père de Grangé est un personnage fascinant et terrorisant, et le romancier nous donne un aperçu détaillé de la vie qu'il a vécue sous son regard. En alternant les voix de lui-même, de sa mère et de sa grand-mère maternelle, Grangé crée un récit qui est à la fois personnel et universel.
Grangé nous explique que son but était de créer une histoire qui fasse peur, en se plongeant dans les émotions et les expériences de ses personnages. Il a choisi d'écrire cette autobiographie parce qu'il aimait bien s'identifier aux gens menacés, mais pas à ceux qui veulent les détruire. Il nous montre que l'autofiction peut être une forme de littérature puissante et émouvante, capable de révéler des secrets et des peurs profondes.
Le romancier a également dit qu'il n'avait pas eu du mal à composer ce texte si singulier, car il aimait bien raconter sa vie. Il nous explique que l'autofiction est quelque chose de "légère", comme raconter ses vacances en CM2, et que les auteurs actuels ne font plus de ce travail de fiction et ressassent inlassablement les mêmes choses.
Mais Grangé a également parlé des critiques qui pourraient être émises sur son livre. Il nous a dit qu'il n'hésite pas à remettre au défi les attentes associées à l'autofiction, ce qui pourrait plaire aux lecteurs sérieux et ennuyeux. Cependant, il reconnaît que certains pourraient trouver son livre "difficile" ou "contradictoire".
Enfin, Grangé a parlé de ses futurs projets littéraires, notamment un roman sur Tokyo qui est en cours de rédaction. Il nous a dit qu'il aime changer d'époques et de lieux pour trouver son inspiration et que son secret pour éviter le trac et l'angoisse est de se lever chaque matin à 3 heures du matin pour travailler comme un artisan.
En refermant "Je suis né du diable", nous sommes laissés avec une question : comment Grangé va-t-il continuer d'écrire maintenant qu'il nous a dévoilé l'envers du décor de son œuvre ? Le stakhanoviste du polar ne panique pas, car il a déjà fini un roman de 800 pages sur Tokyo et est prêt à commencer un nouveau projet.