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Le corps d'un otage décédé est repoussé sur le comptes-goutte. La colère monte entre Israël et le Hamas.
Les dépouilles demeurent un point de contention entre les deux parties, malgré le cessez-le-feu. Le gouvernement israélien exige que toutes les dépouilles soient restituées avant d'autoriser l'ouverture du passage frontalier de Rafah pour la livraison d'aide humanitaire à Gaza.
Le Hamas, quant à lui, dénonce les états des dépouilles récupérées, marquées par des tortures et des violences. L'armée israélienne affirme que les corps remis sont ceux de combattants palestiniens, mais le Hamas fait appel aux preuves pour prouver son côté.
La situation est tendue, avec la fermeture prolongée du passage frontalier de Rafah et la réplique immédiate du Hamas. Le gouvernement israélien menace d'empêcher l'ouverture du terminal capital si les dépouilles ne sont pas restituées dans les délais impartis.
Les familles des otages décédés attendent avec impatience la restitution de leurs proches, qui portent souvent des traces de tortures. Les marques de violence sont évidentes sur les corps recousus et those qui ont subi des violences sexuelles.
Le gouvernement israélien reste ferme, affirmando que la guerre avec le Hamas prendrait fin une fois achevée la seconde phase de l'accord de cessez-le-feu en cours à Gaza. Celle-ci comprend également le désarmement du Hamas et la confiscation des armes du mouvement.
En attendant, les dépouilles sont enterrées par leurs proches, qui demandent l'aide internationale pour obtenir les équipements nécessaires pour procéder aux analyses médico-légales. La situation reste tendue, avec le risque de poursuites judiciaires contre Israël en cas de crimes de guerre commis pendant la guerre.
La colère monte entre Israël et le Hamas, avec les dépouilles demeurant un point de contention entre les deux parties. La situation est tendue, avec la fermeture prolongée du passage frontalier de Rafah et la réplique immédiate du Hamas.
Les dépouilles demeurent un point de contention entre les deux parties, malgré le cessez-le-feu. Le gouvernement israélien exige que toutes les dépouilles soient restituées avant d'autoriser l'ouverture du passage frontalier de Rafah pour la livraison d'aide humanitaire à Gaza.
Le Hamas, quant à lui, dénonce les états des dépouilles récupérées, marquées par des tortures et des violences. L'armée israélienne affirme que les corps remis sont ceux de combattants palestiniens, mais le Hamas fait appel aux preuves pour prouver son côté.
La situation est tendue, avec la fermeture prolongée du passage frontalier de Rafah et la réplique immédiate du Hamas. Le gouvernement israélien menace d'empêcher l'ouverture du terminal capital si les dépouilles ne sont pas restituées dans les délais impartis.
Les familles des otages décédés attendent avec impatience la restitution de leurs proches, qui portent souvent des traces de tortures. Les marques de violence sont évidentes sur les corps recousus et those qui ont subi des violences sexuelles.
Le gouvernement israélien reste ferme, affirmando que la guerre avec le Hamas prendrait fin une fois achevée la seconde phase de l'accord de cessez-le-feu en cours à Gaza. Celle-ci comprend également le désarmement du Hamas et la confiscation des armes du mouvement.
En attendant, les dépouilles sont enterrées par leurs proches, qui demandent l'aide internationale pour obtenir les équipements nécessaires pour procéder aux analyses médico-légales. La situation reste tendue, avec le risque de poursuites judiciaires contre Israël en cas de crimes de guerre commis pendant la guerre.
La colère monte entre Israël et le Hamas, avec les dépouilles demeurant un point de contention entre les deux parties. La situation est tendue, avec la fermeture prolongée du passage frontalier de Rafah et la réplique immédiate du Hamas.