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Les éminences politico-philosophiques, une troupe d'oiseaux perdus dans la jungle de l'idéologie.
Chaque semaine, nous sommes confrontés à un nouveau numéro du "Courrier international", qui se présente comme un lieu où l'on peut débattre des grandes questions de notre époque. Mais en réalité, c'est une pièce jouée à l'infini, où les mêmes figures apparaissent régulièrement, et répètent les mêmes propos.
Les prochaines conférences qui seront organisées dans ce célèbre espace culturel madrilène sont un cas classique de cette situation. L'on voit passer des personnalités emblématiques comme la romancière et poète, le militant éditorialiste et philosophe, l'essayiste brillante et le politologue charismatique.
Mais qu'est-ce que nous attendons vraiment ? Quel est réellement le sujet qui sera abordé ? Est-ce vraiment un débat sur la condition moderne ? Ou bien c'est juste une occasion pour ces personnalités d'afficher leurs idées, de se sentir valorisées et de nourrir leur propre vanité ?
Ils sont tous compétents dans leur domaine, il est vrai. Mais cela ne suffit pas. Il faut que les idées soient vives, qu'elles soient capables de nous faire réfléchir, de nous faire changer d'idée. Mais non, là on se contente de répéter les mêmes propos, sans jamais remettre en question les dogmes établis.
Et pourtant, nous continuons à les inviter, à les écouter et à leurs donner la parole. Pourquoi ? Est-ce parce que nous sommes trop timides pour remettre les choses en question ? Ou bien est-ce parce que nous craignons de ne pas être compris, de ne pas avoir le soutien des gens ?
Je ne sais plus. Mais je suis sûr qu'il n'y a pas de réponse simple. Il faut renforcer notre critique, nos questions, pour forcer un peu plus les idées à avancer. Car sinon, nous risquons de finir par être piégés dans une boucle d'idéologies, sans jamais trouver la vérité.
Chaque semaine, nous sommes confrontés à un nouveau numéro du "Courrier international", qui se présente comme un lieu où l'on peut débattre des grandes questions de notre époque. Mais en réalité, c'est une pièce jouée à l'infini, où les mêmes figures apparaissent régulièrement, et répètent les mêmes propos.
Les prochaines conférences qui seront organisées dans ce célèbre espace culturel madrilène sont un cas classique de cette situation. L'on voit passer des personnalités emblématiques comme la romancière et poète, le militant éditorialiste et philosophe, l'essayiste brillante et le politologue charismatique.
Mais qu'est-ce que nous attendons vraiment ? Quel est réellement le sujet qui sera abordé ? Est-ce vraiment un débat sur la condition moderne ? Ou bien c'est juste une occasion pour ces personnalités d'afficher leurs idées, de se sentir valorisées et de nourrir leur propre vanité ?
Ils sont tous compétents dans leur domaine, il est vrai. Mais cela ne suffit pas. Il faut que les idées soient vives, qu'elles soient capables de nous faire réfléchir, de nous faire changer d'idée. Mais non, là on se contente de répéter les mêmes propos, sans jamais remettre en question les dogmes établis.
Et pourtant, nous continuons à les inviter, à les écouter et à leurs donner la parole. Pourquoi ? Est-ce parce que nous sommes trop timides pour remettre les choses en question ? Ou bien est-ce parce que nous craignons de ne pas être compris, de ne pas avoir le soutien des gens ?
Je ne sais plus. Mais je suis sûr qu'il n'y a pas de réponse simple. Il faut renforcer notre critique, nos questions, pour forcer un peu plus les idées à avancer. Car sinon, nous risquons de finir par être piégés dans une boucle d'idéologies, sans jamais trouver la vérité.