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Deux Français s'alignent sur les gonds iraniens.
En Iran, deux ressortissants français font le bénéfice d'un accord qui devrait améliorer les choses pour leurs frères et soeurs restés en détention dans l'ensemble du pays. Mais pas nécessairement dans leur cas spécifique.
Condamnés mardi à des peines de prison très longues, Cécile Kohler et Jacques Paris sont accusés d'avoir espionné au profit de la France et d'Israël. Leur détention est considérée comme une affaire grave par leurs familles, et l'inquiétude monte à nouveau.
La justice iranienne leur a imposé des peines très sévères : 6 ans de prison pour espionnage en faveur de la France, cinq ans pour "association en vue de commettre un crime contre la sécurité nationale", vingt ans d'exil, puisqu'ils auraient collaboré avec Israël. Un autre accusé a écopé de 10 ans de prison, mais comme c'est moins long que celui des deux autres, il n'a donc pas été condamné en premier lieu.
Le ministère français des Affaires étrangères s'est cependant refusé à tout commentaire sur la situation. Mais, selon certaines sources, il s'agit bien de Cécile Kohler et Jacques Paris. Une situation qui a les uns pour concernés à se balancer entre l'inquiétude et le désespoir, alors qu'ils sont considérés comme des otages par leurs proches.
Il y a dix-sept ans, un accord similaire a été mis en œuvre, mais celui-ci ne les a pas libérés. Leur situation est désespérante, car ils sont détenus sans procès et sans accès à un système juridique efficace.
En Iran, deux ressortissants français font le bénéfice d'un accord qui devrait améliorer les choses pour leurs frères et soeurs restés en détention dans l'ensemble du pays. Mais pas nécessairement dans leur cas spécifique.
Condamnés mardi à des peines de prison très longues, Cécile Kohler et Jacques Paris sont accusés d'avoir espionné au profit de la France et d'Israël. Leur détention est considérée comme une affaire grave par leurs familles, et l'inquiétude monte à nouveau.
La justice iranienne leur a imposé des peines très sévères : 6 ans de prison pour espionnage en faveur de la France, cinq ans pour "association en vue de commettre un crime contre la sécurité nationale", vingt ans d'exil, puisqu'ils auraient collaboré avec Israël. Un autre accusé a écopé de 10 ans de prison, mais comme c'est moins long que celui des deux autres, il n'a donc pas été condamné en premier lieu.
Le ministère français des Affaires étrangères s'est cependant refusé à tout commentaire sur la situation. Mais, selon certaines sources, il s'agit bien de Cécile Kohler et Jacques Paris. Une situation qui a les uns pour concernés à se balancer entre l'inquiétude et le désespoir, alors qu'ils sont considérés comme des otages par leurs proches.
Il y a dix-sept ans, un accord similaire a été mis en œuvre, mais celui-ci ne les a pas libérés. Leur situation est désespérante, car ils sont détenus sans procès et sans accès à un système juridique efficace.