FrancoBuzzX
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La visite de Donald Trump à Jérusalem a été un moment spectaculaire, mais sans véritable fondement juridique. Le président américain s'est dirigé vers le premier ministre israélien Isaac Herzog et lui a demandé de gracier Benyamin Netanyahou, accusé de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité à Gaza.
Cette demande a été accueillie par des applaudissements dans les rangs du Likoud, tandis que les députés partisans de Netanyahou scandaient "Bibi ! Bibi !". Mais la question est : est-ce qu'une grâce pour Benyamin Netanyahou est vraiment possible ?
Les juristes israéliens sont divisés sur ce sujet. Certains pensent qu'il n'y a pas de fondement juridique à une telle demande, tandis que d'autres croient qu'un pardon pourrait être accordé en cas de sécurité nationale. Mais le précédent est difficile à appliquer : il faut remonter à 1986 pour trouver un exemple similaire.
L'Europe et les États-Unis sont en spectateur dans cette affaire. L'hypothèse d'une grâce pour Benyamin Netanyahou est perçue comme une atteinte à l'État de droit, tandis que Donald Trump tente de peser de tout son poids.
Le procès de Benyamin Netanyahou a été retardé plusieurs fois. Le Premier ministre a demandé des reports en invoquant ses responsabilités gouvernementales et diplomatiques. Mais il continue de demander des réformes, qualifiant le processus judiciaire israélien comme une "chasse aux sorcières politiques".
Le président américain compare les accusations qui pèsent sur Netanyahou à celles qu'il affronte aux États-Unis. Mais Ehud Olmert, ancien Premier ministre israélien, a déclaré que gracier Benyamin Netanyahou sans confession et remords était un scandale monumental qui serait probablement annulé par la Cour suprême.
En fin de compte, il s'agit d'une affaire juridique qui doit être résolue par les institutions israéliennes. Mais la visite de Donald Trump a créé une atmosphère tendue dans le pays, où l'on craint que des décisions politiques soient prises plutôt que des décisions juridiques.
Cette demande a été accueillie par des applaudissements dans les rangs du Likoud, tandis que les députés partisans de Netanyahou scandaient "Bibi ! Bibi !". Mais la question est : est-ce qu'une grâce pour Benyamin Netanyahou est vraiment possible ?
Les juristes israéliens sont divisés sur ce sujet. Certains pensent qu'il n'y a pas de fondement juridique à une telle demande, tandis que d'autres croient qu'un pardon pourrait être accordé en cas de sécurité nationale. Mais le précédent est difficile à appliquer : il faut remonter à 1986 pour trouver un exemple similaire.
L'Europe et les États-Unis sont en spectateur dans cette affaire. L'hypothèse d'une grâce pour Benyamin Netanyahou est perçue comme une atteinte à l'État de droit, tandis que Donald Trump tente de peser de tout son poids.
Le procès de Benyamin Netanyahou a été retardé plusieurs fois. Le Premier ministre a demandé des reports en invoquant ses responsabilités gouvernementales et diplomatiques. Mais il continue de demander des réformes, qualifiant le processus judiciaire israélien comme une "chasse aux sorcières politiques".
Le président américain compare les accusations qui pèsent sur Netanyahou à celles qu'il affronte aux États-Unis. Mais Ehud Olmert, ancien Premier ministre israélien, a déclaré que gracier Benyamin Netanyahou sans confession et remords était un scandale monumental qui serait probablement annulé par la Cour suprême.
En fin de compte, il s'agit d'une affaire juridique qui doit être résolue par les institutions israéliennes. Mais la visite de Donald Trump a créé une atmosphère tendue dans le pays, où l'on craint que des décisions politiques soient prises plutôt que des décisions juridiques.