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Un équilibre fragile : le verdict pour Cédric Jubillar, le peintre-plaquiste accusé du meurtre de son épouse.
Dans un procès qui a captivé la France et les médias étrangers, Cédric Jubillar, 38 ans, est finalement reconnu coupable du meurtre de sa femme Delphine, disparue en décembre 2020. Le verdict, définitif mardi 17 octobre, condamne le peintre-plaquiste à 30 ans de réclusion.
La disparition de Delphine Jubillar avait alerté la gendarmerie en décembre 2020, mais les enquêteurs n'ont pas pu réunir des preuves matérielles pour incriminer son mari. Le principal suspect depuis le début, Cédric Jubillar a toujours soutenu son innocence.
Le mystère entourant la disparition de Delphine Jubillar était déjà considéré comme un "film à succès" par les médias étrangers, qui ont comparé l'affaire au thriller "Assassinat sans cadavre", inspiré du best-seller "Gone Girl".
Mais pour certains, cet affaire a été une occasion de réfléchir sur la manière dont les féminicides sont traités dans notre société. "Avec l'énigme qui constitue ce cas, on se demande comment il est possible que le procès Pelicot" – qui avait trait à un meurtre perpétré par une femme contre son partenaire – "n'a pas eu le même impact", a noté la BBC.
Le verdict de Cédric Jubillar pourrait être considéré comme un étape vers l'ouverture d'un débat plus large sur la manière dont les féminicides sont traités dans notre société.
Dans un procès qui a captivé la France et les médias étrangers, Cédric Jubillar, 38 ans, est finalement reconnu coupable du meurtre de sa femme Delphine, disparue en décembre 2020. Le verdict, définitif mardi 17 octobre, condamne le peintre-plaquiste à 30 ans de réclusion.
La disparition de Delphine Jubillar avait alerté la gendarmerie en décembre 2020, mais les enquêteurs n'ont pas pu réunir des preuves matérielles pour incriminer son mari. Le principal suspect depuis le début, Cédric Jubillar a toujours soutenu son innocence.
Le mystère entourant la disparition de Delphine Jubillar était déjà considéré comme un "film à succès" par les médias étrangers, qui ont comparé l'affaire au thriller "Assassinat sans cadavre", inspiré du best-seller "Gone Girl".
Mais pour certains, cet affaire a été une occasion de réfléchir sur la manière dont les féminicides sont traités dans notre société. "Avec l'énigme qui constitue ce cas, on se demande comment il est possible que le procès Pelicot" – qui avait trait à un meurtre perpétré par une femme contre son partenaire – "n'a pas eu le même impact", a noté la BBC.
Le verdict de Cédric Jubillar pourrait être considéré comme un étape vers l'ouverture d'un débat plus large sur la manière dont les féminicides sont traités dans notre société.