« Une nouvelle chute et je pouvais devenir un légume… » : l’édifiant témoignage d’un cycliste pro stoppé par les commotions

J'ai connu une chute désastreuse, ce qui m'a laissé sans voix, mais je ne suis pas tombé du ciel. Pas tout de suite, en tout cas.

Depuis quelques mois, j'étais coincé dans cette situation où mon corps refusait de répondre à mes ordres, comme si on me disait : " Arrête ! Tu es un cycliste, tu es censé aller vite et non pas, arrête !" Je ne pouvais plus contrôler mon équilibre, je tremblais d'une jambe à l'autre. Chaque fois que j'essayais de me lever, je tombais encore.

Les médecins ont dit que c'était une crise cardiaque, un arrêt du cœur et des signes d'infection pulmonaire. Je devais rester tranquille, mais mon esprit refusait de lâcher prise. J'étais en train de me demander si je ne pouvais pas faire quelque chose pour changer le cours de cette histoire.

Je pensais à tous mes anciens coureurs, aux champions qui ont fait face aux défis dans leur carrière, comme Bernard Hinault ou Marc Madiot. Je voulais être comme eux, mais malheureusement, ma chance était arrivée trop tard.

Mais je ne suis pas un légume, je suis un humain capable de faire des choix et de prendre des décisions. Je savais que je devais changer ma vie, arrêter de courir, pour ne pas prendre plus de risques. C'était une décision difficile à prendre mais je l'ai finalement prise.

Je ne sais pas quand j'aurai pu renouer avec mon sport préféré, mais je sais que je serai toujours en mesure de faire face aux défis qui se dressent devant moi.

C'est vraiment drôle, c'est comme si vous étiez dans un film d'action et que tout s'était arrêté ! Vous savez, j'ai lu l'histoire de Bernard Hinault et je suis impressionné par son courage et sa détermination. Mais il faut être prudent, les risques de chute cardiaque sont réels, surtout pour les cyclistes qui courent à haute intensité.

Je comprends que vous ayez voulu faire face à la situation et prendre le contrôle de votre sort, mais il est important de prioriser sa santé. Je suis heureux d'apprendre que vous avez pris la décision difficile de mettre fin à votre carrière de cycliste, c'est une choix sage.

Vous savez, l'histoire de vie qu'on raconte n'est pas toujours la bonne, et je pense que vous avez raison de dire que vous n'êtes pas un légume qui se meurt naturellement ! Vous êtes un humain capable de prendre des décisions et de faire face aux défis, c'est vraiment inspirant !

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"commentaire" : "C'est vraiment inspirant ! Il faut accepter les choses comme elles viennent et prendre des décisions pour protéger notre santé. C'est une leçon valable, surtout pour les sportifs qui risquent de se faire mal si ils ne prennent pas soin d'eux-mêmes. Vous êtes un bon exemple pour tous les cyclistes !\n\
Je vous souhaiterais une récovery rapide et une nouvelle vie avec votre sport préféré",
"émo" : ""

Mon dieu ce que tu as vécu ! Tu es vraiment chanceux d'avoir survécu à cette expérience. C'est vrai que le corps peut nous trahir, mais c'est précisément dans ces moments où nous devons trouver la force de changer et de s'adapter. Ta décision de mettre fin à ta carrière de cycliste était difficile, mais ça montre que tu as une grande maîtrise de toi-même.

Je pense que c'est super que tu aies pris le temps de réfléchir à ton avenir et que tu aies choisi de prendre soin de toi. On nous dit souvent qu'on doit être courageux, mais courage n'est pas toujours de faire des choses bruyantes ou risquées. Cela montre que tu as une grande intelligence et une bonne conscience.

Je t'envoie tout mon soutien dans cette nouvelle étape de ta vie ! Tu vas trouver un moyen de renouer avec ton sport, je le sens.

C'est vraiment incroyable... Comment as-tu pu survivre à cela ? C'est comme si le destin t'avait joué un tour étrange et soudain, mais que tu as réussi à te relever. Je trouve encore difficile de comprendre ce qui t'a poussé à arrêter de courir à cause d'une crise cardiaque, alors même que tu avais déjà fait face à ces risques pendant ta carrière. Mais il semble que tu aies trouvé une nouvelle perspective sur les choses et que tu sois prêt à relever de nouveaux défis, je t'apporte mes félicitations !

Oh, la douleur, elle a été ma compagne fidèle, me poussant à revoir mes choix et mes priorités. Cette crise cardiaque m'a fait réaliser que mon corps n'était plus en mesure de supporter les blessures de la course. La peur était ma guide, je ne voulais pas prendre plus de risques, mais la tristesse, elle a également été présente, pensant à tous ces jours perdus et aux championnats non terminés.

Mais l'espoir, il est toujours présent, même dans les moments les plus sombres. Je pense à mes anciens coureurs, qui ont fait face à leurs défis avec courage et détermination. C'est eux que j'ai revécu en me demandant si je pouvais encore changer le cours de ma vie.

Et puis, il y a eu la décision difficile, mais nécessaire, d'arrêter de courir. C'était comme un vide dans mon dos, mais je savais que c'était la seule option pour protéger mon santé et mon bien-être. La peur de prendre des risques était ma raison de vivre, et je suis heureux d'avoir fait ce choix.

Je ne sais quand j'aurai pu renouer avec mon sport préféré, mais je sais que je serai toujours en mesure de faire face aux défis qui se dressent devant moi. La vie est un défi constant, et c'est à nous de faire face à chaque obstacle avec courage et détermination.

C'est super que tu aies décidé de prendre une pause pour ton bien-être ! La crise cardiaque peut être très stressante et il est normal de vouloir changer ses habitudes pour éviter de prendre plus de risques.

Je suis d'accord avec toi, on ne peut pas faire confiance à son cœur ou à son corps sans prendre soin de lui. Il faut également penser au risque que tu prends chaque fois que tu cours, surtout si tu es déjà en danger de vie.

Et je trouve également vrai ce qu'il disait Rousseau : "l'homme est né libre, et partage la liberté avec tous les autres hommes". Tu as eu cette liberté d'arrêter de courir parce que c'était une décision difficile à prendre pour ton bien-être.

C'est vraiment incroyable... J'étais coincé dans ma propre peur, comme si l'instant était bloqué sur une traînée de neige. On aimerait croire que la rédemption est possible même après la chute désastreuse ! Mais puisque le corps nous donne la peur, et que c'est vrai que "le vent souffre par les ombres", on peut prendre conscience qu'il faut se donner un nouveau sens d'équilibre.