Dans le Cameroun de Paul Biya, une librairie de résistance à Yaoundé

FrabulleZen

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Dans le cœur de Yaoundé, la capitale camérucaise, se cachent des sentiments de rébellion. La Librairie des peuples noirs (LPN), un lieu de résistance et de liberté face à l'oppression autoritaire de Paul Biya, qui aspire à un huitième mandat et maintient son pouvoir depuis plus de 40 ans. Ce vent de contestation est empreint d'une détermination à faire entendre la voix des silencieux.

Lorsque on monte les marches raides du lieu, l'écriteau du Centre national du livre apparaît comme un signal de ralliement : « Librairie francophone de référence ». Les livres que l'on y trouve sont une forme d'art de résistance. Les best-sellers « Monsieur le président, partez ! », « Les Années Biya » et « L'Ange du chaos » visent directement l'autocrate. Ces ouvrages donnent un ton à la librairie qui est autant une forme d'esprit libre que de critique politique.

À l'intérieur de cette librairie, on voit les présentoirs chargés des cahiers, des livres de philosophie et des romans. Parmi eux, les œuvres de Mongo Beti, le fondateur du mouvement littéraire qui a inspiré la LPN. Les portraits de Beti et de son épouse Odile Tobner sont affichés en haut, comme un hommage aux luttes pour l'expression libre.

En dessous de ces livres révolteurs, Ambroise Kom, directeur de la librairie depuis des années, nous accueille. L'homme de 79 ans, ancien professeur de lettres, garde toujours son air de défi. Il nous explique que les ouvrages cités plus tôt sont les best-sellers de la librairie, et qu'ils correspondent à l'intérêt des gens pour connaitre les coulisses du pouvoir.

Dans ce lieu, il y a une volonté d'évoquer le fait, d'interroger le statu qui est perçu par beaucoup comme un obstacle au progrès de la nation. Et si le président Biya cherche à prolonger son autorité, les Camerounais ne sont pas silencieux.
 
C'est vraiment frustrant quand on regarde ce qui se passe au Cameroun. Les gens ont toujours eu besoin d'avoir une voix et c'est là que cette librairie intervient. Les livres qu'ils proposent, c'est plus qu'un simple livre, c'est une forme de résistance contre l'oppression du président Biya. Il est tellement frustrant quand on voit que le pouvoir ne veut pas écouter les gens et que les gens doivent se battre pour avoir des droits. Je pense que si nous pouvions seulement être plus ouverts à la discussion, peut-être arriverait-il à l'arrêt de ce cycle de violence.

Et même si je suis un gamer et qu'on pourrait me dire que c'est pas mon domaine... ce qui compte, c'est les gens qui sont là pour dire leur voix.
 
C'est vraiment frustrant quand on se rend compte que nous sommes encore prisonniers d'une société qui refuse de parler sa vérité. Je pense que c'est super que des gens comme vous soient à la pointe des changements, à créer un espace où les idées peuvent s'échanger sans peur de répercussions.
 
Si je devais donner mon avis, ce qui me semblait important c'est que l'on voie un peuple courageux parler avec force et se battre pour ses droits. Cela montre une détermination vraiment inspirante.

Avec 40 ans de pouvoir, il est temps pour Paul Biya de passer le relais à quelqu'un d'autre.
 
C'est une belle histoire de résistance... et d'esprit libre ! Les livres dans cette librairie sont vraiment des outils pour faire entendre la voix de ceux qui sont silencieux. C'est génial que l'on y trouve les œuvres de Mongo Beti, c'est un vrai héros pour la liberté d'expression.

Et le fait qu'il y ait une volonté de critiquer l'autorité et de discuter du pouvoir en place, c'est vraiment important. Les gens ont besoin de se faire entendre, especially dans les pays où la liberté d'expression n'est pas toujours garantie.

Je pense que c'est un exemple à suivre pour tout le monde...
 
C'est vraiment incroyable ! La Librairie des peuples noirs de Yaoundé est un lieu de résistance qui défie l'autorité d'un homme qui s'empare déjà du pouvoir pour la troisième fois en 40 ans. Les livres qu'ils vendent sont une forme d'esprit libre et de critique politique, ils nous rappellent que les mots peuvent être un outil puissant pour dénoncer les injustices.

Je trouve particulièrement intéressant l'accent mis sur les œuvres de Mongo Beti, qui ont inspiré la LPN. Les portraits de cette légende littéraire sont un hommage à ses luttes pour l'expression libre et à son influence sur le mouvement des droits de l'homme.

La rébellion est en train de prendre forme au Cameroun, et je suis convaincu que les Camerounais ne seront pas silencieux face à la tentative d'autorisation du président Biya. Les mots des écrivains comme Ambroise Kom sont une arme puissante pour défendre leurs droits et leur liberté.

Je suis impressionné par le courage de ces gens qui osent contester l'ordre établi, même face à l'autorité. La LPN est un exemple de résistance qui peut inspirer les gens partout dans le monde.
 
Ce que je trouve vraiment fascinant chez cette librairie et ses habitués, c'est la manière dont ils affrontent l'oppression en s'appuyant sur leur droit à la liberté d'expression ! Les livres qu'ils vendent ne sont pas seulement des best-sellers de politique ou d'actualité, mais aussi une forme d'art qui donne un ton à la librairie. C'est comme si on poussait les portes de la liberté et que l'on criait haut : « On n'a pas besoin de vous ! »

Ce qu'il me plaît particulièrement chez Ambroise Kom, c'est son air de défi et sa confiance en lui-même. Il est comme un symbole vivant du pouvoir du livre pour changer le monde. Et les portraits de Mongo Beti et d'Odile Tobner, ils sont comme un rappel perpétuel à la lutte pour l'expression libre.

Je pense que c'est là que nous devrions nous concentrer : sur la liberté d'expression et sur la manière dont elle peut changer notre société. Et si les gens se rassemblent pour défendre leur droit à l'information, alors je suis tout à fait d'accord !
 
C'est complètement fou que Biya aspire à un huitième mandat ! 40 ans au pouvoir est déjà trop longtemps, vous allez me faire rire si je commence à compter à ce rythme. Mais ce qui m'a le plus frappé, c'est la Librairie des peuples noirs. C'est un endroit où les gens se rassemblent pour discuter, pour lire et pour faire entendre leur voix. Les livres qu'ils ont sur les étagères sont vraiment intéressants, notamment ceux de Mongo Beti. Il faut que le président Biya prenne note de la révolte qui se prépare. C'est un signal fort de résistance face à l'autocratie.
 
C'est vraiment incroyable ce que je vois là-bas ! Une librairie qui devient un lieu de résistance et de liberté face à une situation politique très tendue. Les livres qu'ils vendent sont vraiment des outils pour faire entendre la voix des silencieux et critiquer l'autocratie. J'adore ce sentiment d'esprit libre qui règne dans cette librairie ! Et voir les portraits de Mongo Beti et Odile Tobner est vraiment émouvant, c'est une hommage à toutes les luttes pour l'expression libre.

Je pense que c'est vraiment un symbole de la détermination des Camerounais à ne pas se taire face à une situation qui leur semble injuste. Et si le président Biya cherche à prolonger son autorité, il va falloir qu'il comprenne que les gens ne sont plus silencieux ! Il est temps pour un changement, et j'espère que cette librairie sera au cœur de cela.

Je pense qu'il faut que nous tous soyons inspirés par ce mouvement et nous engagent également dans la promotion de la liberté d'expression. C'est incroyable de voir combien les gens peuvent faire pour changer leur monde en prenant parti pour leurs droits !
 
Je pense que c'est vraiment incroyable ce que se passe dans cette librairie. C'est comme si l'on était dans un film, vous savez ? Les livres qui sont là, ils n'en sont qu'à la surface ! Il y a tellement de révolte cachée et d'esprit libre. Je trouve vraiment inspirant la façon dont les gens se rassemblent là pour critiquer le pouvoir. C'est comme si l'on avait trouvé un endroit où on peut dire ce que l'on pense sans crainte de représailles. Et puis, les livres ! Je me demande souvent comment ils ont pu trouver des auteurs aussi courageux et incroyables... C'est vraiment le cœur du problème : il faut être prêt à se battre pour avoir la liberté d'expression.
 
C'est vraiment incroyable ce qui se passe là-bas à Yaoundé ! La Librairie des peuples noirs est comme un feu de joie, une explosion de liberté et de résistance face au pouvoir autoritaire. Les livres qu'ils vendent sont vraiment des armes pour changer l'opinion publique, notamment avec ces best-sellers contre le président Biya ! "Monsieur le président, partez !" c'est comme un cri à l'âme de la nation.

Je trouve ça vraiment inspirant, les gens ne veulent plus rester silencieux et s'emparer du pouvoir. La librairie est un endroit où on peut se réfugier pour lire des livres qui nous font réfléchir sur notre situation actuelle. Et avec Mongo Beti comme référence, c'est vraiment l'essentiel ! Les gens ont besoin de voir les portraits de la lutte pour l'esprit libre et de savoir que leur voix compte.

C'est un endroit où on peut évoquer les questions qui sont importantes et qui nous font questionner notre statu politique. Le président Biya aspire à son huitième mandat, mais les Camerounais ne veulent pas rester silencieux !
 
C'est fou, l'attitude des jeunes aujourd'hui ! Ils ont vraiment des idées fortes et ne se laissent pas intimider par personne. Mais je pense que c'est génial, on en a besoin pour changer les choses. La LPN c'est comme un symbole de résistance contre le système qui veut nous piéger. Et les livres qu'ils vendent, ce sont des armes pour penser et réfléchir à notre futur. Je suis fan de Mongo Beti, son histoire est vraiment inspirante. Et Ambroise Kom, c'est un type cool, il ne se laisse pas faire par personne ! Le système va essayer de l'arrêter mais les Camerounais vont continuer à parler et à réfléchir. C'est la liberté d'expression qui compte ici, et je suis là pour cela :
 
Cette librairie se cache vraiment bien dans Yaoundé, et c'est tout ce qui fait son charme ! Je vais y passer bientôt un moment, je suis curieux de découvrir ce qu'il y a de nouveau. Les ouvrages de Mongo Beti, ça m'intéresse beaucoup, j'ai lu quelques-uns de ses romans, vraiment géniaux ! Et les critiques politiques qui sont cachées dans ces livres, c'est vrai que cela fait réfléchir. On ne peut pas se moquer des luttes pour l'expression libre et la liberté d'opinion. J'aime aussi cette atmosphère de défiance qui règne à l'intérieur de la librairie, ça me rappelle un peu les sit-ins américains du passé. Je suis évidemment curieux de savoir ce que les gens pensent de ces ouvrages et comment ils voient le pouvoir en action.
 
"Je trouve ce phénomène d'opposition intéressant, mais je suis également conscient des risques liés à l'expression critique en temps de répression. La librairie devient un espace de résistance où les Camerounais peuvent exprimer leur mécontentement sans craindre pour leur sécurité. Mais est-ce que cette opposition est vraiment 'de la gauche', ou s'agit-il d'une forme d'esprit libre qui traverse toutes les positions politiques ? Je pense qu'il faut considérer ce phénomène dans son contexte plus large, en tenant compte des répressions historiques de l'opposition en Cameroun et de la manière dont le pouvoir exerce son contrôle sur la société."
 
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