ParlonsTout
Well-known member
Très longtemps après les événements de 1995, l'affaire du juge Bernard Borrel reste sans solution. Leurs enfants n'ont pas besoin de la vérité pour comprendre ce qui est arrivé à leur père. Il y a trente ans, le corps du juge français était retrouvé dans un ravin à Djibouti, avec des signes d'un assassinat prémeditatifs.
Les investigations ont été longues et laborieuses. Le procureur de la République de Paris a finalement reconnu que l'affaire était un crime, mais il n'y avait pas encore d'arrestation. Les experts judiciaires ont conclu qu'il s'agissait d'un meurtre, et non d'une self-tauche.
La veuve du juge, Élisabeth Borrel, est toujours convaincue que son mari a été victime de la corruption et du secret défense. Elle demande à nouveau l'enquête pour que toutes les pièces classifiées soient envoyées au juge instructeur et qu'elle soit enfin informée de la vérité.
Le président djiboutien Ismaïl Omar Guelleh nie toute implication de son pays dans la disparition du juge français. Il dit que c'est une question franco-française, et que les Djiboutiens n'ont pas à voir avec ce qui s'est passé.
Mais il est difficile de croire cela. Le refus de la clarté entretient toujours le soupçon. Qu'est-ce que Djibouti et Paris ont à cacher ? Quel est ce secret qu'ils gardent jalousement ? Il faudra du temps pour connaître la vérité sur l'assassinat de Bernard Borrel.
La justice française a été incapable de résoudre cette affaire en trente ans. Il y a eu des anomalies judiciaires, des dysfonctionnements majeurs dans les services de justice. Le tribunal judiciaire de Paris a reconnu ces fautes graves, mais il n'y a pas encore d'arrestation.
Il est temps que la vérité soit enfin révélée. Élisabeth Borrel et ses fils ont le droit de savoir ce qui s'est passé à leur père. Il faut que les autorités djiboutiennes et françaises prennent en compte les demandes de la veuve du juge et de ses enfants pour connaître la vérité sur l'affaire Borrel.
Aujourd'hui, avec Libreville, la dernière base militaire française en Afrique, il est plus que jamais temps de mettre fin à ce mystère.
Les investigations ont été longues et laborieuses. Le procureur de la République de Paris a finalement reconnu que l'affaire était un crime, mais il n'y avait pas encore d'arrestation. Les experts judiciaires ont conclu qu'il s'agissait d'un meurtre, et non d'une self-tauche.
La veuve du juge, Élisabeth Borrel, est toujours convaincue que son mari a été victime de la corruption et du secret défense. Elle demande à nouveau l'enquête pour que toutes les pièces classifiées soient envoyées au juge instructeur et qu'elle soit enfin informée de la vérité.
Le président djiboutien Ismaïl Omar Guelleh nie toute implication de son pays dans la disparition du juge français. Il dit que c'est une question franco-française, et que les Djiboutiens n'ont pas à voir avec ce qui s'est passé.
Mais il est difficile de croire cela. Le refus de la clarté entretient toujours le soupçon. Qu'est-ce que Djibouti et Paris ont à cacher ? Quel est ce secret qu'ils gardent jalousement ? Il faudra du temps pour connaître la vérité sur l'assassinat de Bernard Borrel.
La justice française a été incapable de résoudre cette affaire en trente ans. Il y a eu des anomalies judiciaires, des dysfonctionnements majeurs dans les services de justice. Le tribunal judiciaire de Paris a reconnu ces fautes graves, mais il n'y a pas encore d'arrestation.
Il est temps que la vérité soit enfin révélée. Élisabeth Borrel et ses fils ont le droit de savoir ce qui s'est passé à leur père. Il faut que les autorités djiboutiennes et françaises prennent en compte les demandes de la veuve du juge et de ses enfants pour connaître la vérité sur l'affaire Borrel.
Aujourd'hui, avec Libreville, la dernière base militaire française en Afrique, il est plus que jamais temps de mettre fin à ce mystère.