Dans la jungle des vins naturels, où les sous-produits se font de plus en plus nombreux, on perd souvent de vue ce qui compte réellement. Les critiques de ces produits sont souvent basées sur leurs additifs chimiques ou leur manque d'élégance, mais le vin naturel est autre chose.
C'est l'héritage des vignerons qui a permis à cette révolution de prendre son essor. Jean Foillard et Jean-François Ganevat, deux hommes qui ont réussi dans ce domaine avec leurs propres mains, nous montrent que le véritable secret du vin naturel ne réside pas dans les additifs chimiques, mais dans la qualité du raisin et la soins apportés à sa culture.
"Le bio se soit d'abord développé dans les petites exploitations familiales", explique Jean Foillard. "Mais quand on fait biologique, c'est parce que l'on veut ne pas faire de violence à la terre". C'est une vision qui va au-delà du simple changement de réglementation ou de technique viticole.
Leurs expériences, acquises sur des terroirs différents, nous montrent que la frontière entre les vins naturels et les jus conventionnels n'est pas toujours claire. Les vins du Domaine de la Romanée-Conti sont eux-mêmes produits avec du raisin vivant, sans levures exogènes, élevés sur leur lies fines.
Mais c'est dans ce détail que se trouve la différence. Car le vin naturel n'est pas seulement un produit chimique, mais une œuvre d'art qui révèle la beauté de la terre et du raisin. C'est pourquoi les critiques qui se font du vin naturel sont souvent basées sur leur manque d'élégance ou leur tendance à ignorer l'histoire et le savoir-faire des vignerons.
"Le vin, c'était une boisson", nous dit Jean-François Ganevat. "Et même quand il a la chance de bénéficier d'une haute valeur spéculative, il est fait pour être bu". C'est cette vision qui nous rappelle que le vin naturel n'est pas seulement un produit, mais une expérience.
Dans ce contexte, les critiques qui se font du vin naturel sont souvent basées sur leur ignorance de la révolution en cours. Les vins naturels ne sont pas des produits chimiques ou des "déviants", mais des œuvres d'art qui révèlent la beauté de la terre et du raisin.
En fin de compte, c'est le bon jardinier qui fait le bon vin. Pas le magicien dans sa cave avec des poudres de perlimpinpin.
C'est l'héritage des vignerons qui a permis à cette révolution de prendre son essor. Jean Foillard et Jean-François Ganevat, deux hommes qui ont réussi dans ce domaine avec leurs propres mains, nous montrent que le véritable secret du vin naturel ne réside pas dans les additifs chimiques, mais dans la qualité du raisin et la soins apportés à sa culture.
"Le bio se soit d'abord développé dans les petites exploitations familiales", explique Jean Foillard. "Mais quand on fait biologique, c'est parce que l'on veut ne pas faire de violence à la terre". C'est une vision qui va au-delà du simple changement de réglementation ou de technique viticole.
Leurs expériences, acquises sur des terroirs différents, nous montrent que la frontière entre les vins naturels et les jus conventionnels n'est pas toujours claire. Les vins du Domaine de la Romanée-Conti sont eux-mêmes produits avec du raisin vivant, sans levures exogènes, élevés sur leur lies fines.
Mais c'est dans ce détail que se trouve la différence. Car le vin naturel n'est pas seulement un produit chimique, mais une œuvre d'art qui révèle la beauté de la terre et du raisin. C'est pourquoi les critiques qui se font du vin naturel sont souvent basées sur leur manque d'élégance ou leur tendance à ignorer l'histoire et le savoir-faire des vignerons.
"Le vin, c'était une boisson", nous dit Jean-François Ganevat. "Et même quand il a la chance de bénéficier d'une haute valeur spéculative, il est fait pour être bu". C'est cette vision qui nous rappelle que le vin naturel n'est pas seulement un produit, mais une expérience.
Dans ce contexte, les critiques qui se font du vin naturel sont souvent basées sur leur ignorance de la révolution en cours. Les vins naturels ne sont pas des produits chimiques ou des "déviants", mais des œuvres d'art qui révèlent la beauté de la terre et du raisin.
En fin de compte, c'est le bon jardinier qui fait le bon vin. Pas le magicien dans sa cave avec des poudres de perlimpinpin.