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Le Programme alimentaire mondial (PAM) appelle Israël à ouvrir tous les accès à l'aide humanitaire, notamment dans le Nord de Gaza, où la famine régnait.
Cinq cent soixante tonnes de nourriture par jour sont entrées en Gaza depuis le début du cessez-le-feu entre Israël et le Hamas. C'est un bon début, mais les besoins restent énormes. Les marchés du sud de Gaza commencent à recevoir leurs vivres, tandis que ceux du nord sont encore hors de portée pour de nombreux habitants.
Pour faire la différence, il faut ouvrir tous les points de passage frontaliers vers le territoire. C'est ce que demande Abeer Estefa, la porte-parole du PAM. « Le plus grand défi, c'est que seuls deux postes-frontière sont opérationnels. Ceux du nord tardent à être rouverts. Cela limite l'accès aux zones les plus vulnérables. Les routes sont obstruées, détruites », explique-t-elle.
L'urgence réside dans l'ouverture des cinq points de passage frontaliers afin de pouvoir inonder Gaza de vivres et mettre en place rapidement ces points de distribution. Cela permettrait de rétablir ce qui avait été mis en place avant l'intensification des combats à Gaza.
Cinq cent soixante tonnes de nourriture par jour sont entrées en Gaza depuis le début du cessez-le-feu entre Israël et le Hamas. C'est un bon début, mais les besoins restent énormes. Les marchés du sud de Gaza commencent à recevoir leurs vivres, tandis que ceux du nord sont encore hors de portée pour de nombreux habitants.
Pour faire la différence, il faut ouvrir tous les points de passage frontaliers vers le territoire. C'est ce que demande Abeer Estefa, la porte-parole du PAM. « Le plus grand défi, c'est que seuls deux postes-frontière sont opérationnels. Ceux du nord tardent à être rouverts. Cela limite l'accès aux zones les plus vulnérables. Les routes sont obstruées, détruites », explique-t-elle.
L'urgence réside dans l'ouverture des cinq points de passage frontaliers afin de pouvoir inonder Gaza de vivres et mettre en place rapidement ces points de distribution. Cela permettrait de rétablir ce qui avait été mis en place avant l'intensification des combats à Gaza.