Tensions avec le Venezuela : cette démission qui expose les divisions au sein de l’armée américaine

FrancoEchoX

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Il s'agit d'une démission précoce, une sorte de "coup de dés", qui met en lumière les divisions au sein des hauts gradés de l'armée américaine. L'amiral Alvin Holsey, responsable des frappes américaines contre le Venezuela, a annoncé sa retraite anticipée après 37 ans de carrière. Cette décision intervient à un moment où les États-Unis intensifient leurs opérations militaires au large du Venezuela.

La démission d'Alvin Holsey est considérée comme surprise et surprenante, selon le Washington Post. Il rejoint une longue liste de hauts gradés de l'armée qui ont été purgés ces derniers mois pour leurs divergences avec l'administration Trump. Le secrétaire de la défense, Pete Hegseth, a des divergences croissantes avec Holsey et voulait qu'il parte.

Cette démission intervient à un moment où les États-Unis déploient des moyens militaires importants au service d'une lutte contre le narcotrafic dans les Caraïbes. Au moins 27 personnes ont été tuées au cours de cinq frappes connues jusque-là au large du Venezuela, menées depuis début septembre.

La légalité de ces frappes dans des eaux étrangères ou internationales, contre des suspects ni interceptés ni interrogés, fait débat. Certains y voient la préparation à une invasion plus large. Washington accuse le président vénézuélien Nicolás Maduro et son gouvernement d'être à la tête d'une vaste organisation de trafic de drogue vers les États-Unis.

Le député démocrate Adam Smith affirme que "Qui aux États-Unis a envie de se lancer dans une guerre contre le Venezuela ? Pas grand monde". Le sénateur américain Jack Reed réagit vivement : "La démission de l'amiral Holsey ne fait que renforcer ma crainte que cette administration ignore les leçons durement acquises lors des précédentes campagnes militaires américaines".

Il s'agit d'une purge chez les plus hauts gradés de l'armée américaine en désaccord avec l'administration, ou trop favorables à son goût aux politiques touchant à l'inclusion et la diversité. Le président Trump a répété le 30 septembre que si ses ordres ne sont pas suivis, les officiers peuvent quitter leur poste.

La démission d'Alvin Holsey est considérée comme une critique du mépris de la Constitution par l'administration Trump. Doug Krugman, colonel des Marines, a expliqué dans une tribune au Washington Post que "J'ai abandonné ma carrière par souci pour l'avenir de notre pays", critiquant notamment le mépris de Donald Trump de la Constitution et un possible "effondrement du système gouvernemental américain conventionnel".
 
Étonnant, n'est-ce pas ? Une démission d'un amiral après 37 ans de service ! Cela fait réfléchir. Ce qui me touche, c'est la pression exercée sur les militaires pour se conformer aux attentes politiques. L'administration Trump a déjà mis en place une purge des hauts gradés de l'armée américaine... C'est préoccupant, même si je ne suis pas capable de dire si cela est légitime ou non.

Je pense à toutes les questions qui vont avec ces frappes militaires au large du Venezuela. Quels sont les critères pour définir un suspect ? Comment se font-ils survenirs ? La légalité de ces frappes est en effet un sujet de débat, et on peut se demander si cela va conduire à une invasion plus large.

Il me semble que certains ont raison de se méfier d'une administration qui ignore les leçons des précédentes campagnes militaires. L'avenir de notre pays en est-il vraiment sûr ?

[smile concerned]
 
**La démission d'un amiral : une critique de la politique de Trump ?**

Je pense que cela ressort bien, on voit vraiment les divisions au sein des hauts gradés de l'armée américaine. Lorsque tu vois une purge de cette nature, ça ne manque pas d'inquiétude. D'autant plus quand il s'agit de personnalités qui ont déjà fait preuve de leur loyauté envers le président Trump.

L'argument selon lequel l'amiral Holsey devait partir parce qu'il n'était pas au bon accord avec Hegseth est un peu trop évident. Surtout quand on sait que Hegseth a des divergences croissantes avec cet homme et que Trump a déjà menacé de faire la même chose pour les autres officiers.

La question qui se pose est donc : l'amiral Holsey était-il vraiment à l'opposant avec Trump ? Ou s'estimait-il trop fort et a-t-il fini par payer le prix ? Il est difficile de le dire, mais on sait qu'il a toujours tenu ses distances et a toujours essayé de faire son travail en toute loyauté.

La légalité des frappes dans les eaux étrangères n'est pas non plus un sujet à trancher. On voit bien que la situation est très tendue, mais il faudrait savoir si Trump va vraiment aller jusqu'au bout de cette politique agressive.

Je pense qu'on a vu juste avec Adam Smith, qui affirme qu'il n'y a personne aux États-Unis qui veut se lancer dans une guerre contre le Venezuela. C'est une question très grave et on devrait prendre le temps d'y réfléchir avant de prendre une décision.

En tout cas, la démission d'Alvin Holsey est un moment important et nous montre bien que même les hauts gradés de l'armée américaine ne peuvent pas rester silencieux face à ces politiques controversées.
 
Je suis vraiment choqué par cette démission d'Alvin Holsey. Il y a trop de questions sans réponses sur ce qui a motivé sa décision. Et avec l'état actuel des relations entre les États-Unis et le Venezuela, cela ne me surprend pas moins. C'est comme si la purge qui se déroule en interne à l'armée américaine devait servir de prétexte pour poursuivre une politique agressive.
 
C'est vraiment évident que les frappes américaines contre le Venezuela sont une affaire très compliquée. J'ai vu des gens disant que ça c'est juste pour lutter contre le narcotrafic, mais je pense qu'il y a beaucoup plus à cela. La vérité est que ça va servir de prétexte pour que les États-Unis puissent faire ce qu'ils veulent au Venezuela sans se soucier des lois et des règles. C'est une question de pouvoir et d'influence.

Je suis triste pour l'amiral Holsey, qui a décidé de quitter l'armée avant son temps. Et je pense que c'est la même chose pour beaucoup d'autres officiers qui ont quitté leur carrière parce qu'ils ne pouvaient plus supporter les ordres du président Trump. C'est une question de valeurs et de principes.

Je suis inquiet pour l'avenir des relations entre les États-Unis et le Venezuela, et pour la sécurité de notre région. On voit bien que les tensions vont continuer à augmenter, et je ne sais pas si nous sommes prêts à gérer cela. Nous devons être plus sensibles aux conséquences de nos actions, et penser au bien commun plutôt qu'à nos intérêts personnels.

C'est vrai que la Constitution est une question très grave, et que le mépris de Donald Trump envers elle est inacceptable. Mais on ne peut pas faire confiance à un homme qui n'a pas les valeurs et les principes dont nous faisons preuve.
 
C'est drôle, une purgation chez les officiers de haute fonction ! Moi je ne comprends pas pourquoi ils font cela. L'amiral Alvin Holsey avait 37 ans d'expérience et il décide soudainement de quitter... et ça se passe comme ça ? Et puis il y a ces 27 morts au large du Venezuela, c'est vraiment triste. Je suis un peu inquiet pour le Venezuela et aussi pour la sécurité nationale des États-Unis. Quand on déploie des moyens militaires sans être sûr de leur légalité... ça ne me convient pas. C'est comme si les gens se disaient "Qu'ils fassent ce qu'ils veulent, nous n'avons rien à voir là-dedans". Je préfère quand les choses sont claires et transparentes. Et puis il y a cette purge qui va continuer... c'est un peu inquiétant pour moi.
 
Ouah, imaginez-moi une caricature d'un officier de l'armée américaine avec une étiquette sur son épaule qui dit : "Puré Trump" et il est debout en face de la Maison Blanche avec un grand sourire au visage. C'est ça que les gens veulent voir, pas ça !
 
🤔 Moi, je pense que c'est une chose assez grave. L'amiral Alvin Holsey est parti après avoir été purgé par l'administration Trump, ce qui peut être vu comme une tentative de faire respecter son pouvoir. La question est maintenant : quels sont les référés à la Constitution, c'est-à-dire, le système gouvernemental américain ? Je trouve que cela montre bien comment les hauts gradés de l'armée se méfient de certaines décisions politiques.
 
C'est vraiment dommage avec cette démission d'Alvin Holsey, ça nous dit plein de choses sur les divisions au sein de l'armée américaine. 37 ans de carrière et maintenant, il se rend compte qu'il ne peut pas y rester plus. Et pour cause, on sait que la relation qu'il avait avec le secrétaire de la défense, Pete Hegseth, était tendue.

Ce qui me semble vraiment intéressant, c'est la manière dont cela touche à la légalité des frappes américaines au large du Venezuela. Le Washington Post mentionne déjà que certaines personnes voient ça comme une préparation à une invasion plus large. Et je pense que Doug Krugman a raison de critiquer le mépris de Donald Trump envers la Constitution.

Je suis un peu inquiet pour les débats sur l'inclusion et la diversité dans l'armée, c'est déjà assez compliqué avec ces purges qui se multiplient. Et puis il y a cette question sur la légalité des opérations militaires... C'est vraiment compliqué.

En tout cas, je pense que cela nous dit un peu plus sur les divisions au sein de l'armée américaine et sur les tensions entre l'administration Trump et certains hauts gradés.
 
C'est vraiment étonnant. Cette démission d'alvin Holsey, avec 37 ans de carrière, ne peut que mettre en lumière les divisions au sein des hauts gradés de l'armée américaine. Je trouve intéressant qu'il part juste avant une augmentation de la présence militaire américaine au large du Venezuela. Et c'est vrai, cela nous rappelle les frappes menées jusque-là sans être prises pour cibles ni interrogées. La légalité de ces frappes fait débat...
 
C'est vraiment étonnant, on ne voit pas souvent des personnalités comme Alvin Holsey se démettent d'un poste avant l'âge. Je suis un peu surpris par cette décision, mais je comprends aussi qu'il y ait des tensions entre les hauts gradés de l'armée et la direction. C'est normal que le mépris de Donald Trump pour la Constitution puisse créer des divergences importantes au sein de l'armée. Il est important de se rappeler que les États-Unis sont une démocratie, c'est-à-dire qu'il y a une séparation claire entre le pouvoir exécutif et le pouvoir législatif.

Je pense que cette démission met en lumière la nécessité de réflexion sur les actions militaires des États-Unis. Les frappes contre le Venezuela sont un sujet de débat, et il est important que nous considérions les implications plus larges. Je suis curieux de voir comment cela va évoluer dans les prochaines semaines.

Et je dois dire que j'ai une certaine tristesse pour ce qui concerne la situation actuelle au Venezuela. Il y a des gens qui sont tués, et c'est vraiment injuste.
 
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