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"Les Américains préparent leur défense face au président qui croit en son pouvoir absolu".
Plus de 2 700 rassemblements sont prévus samedi dans les grandes villes américaines, tandis que des milliers de personnes se mobiliseront dans les petites communes et à proximité de la résidence du président en Floride. Les organisateurs attendent plusieurs millions de participants, une estimation qui n'est pas balancée.
Le mouvement "No Kings", ou "Pas de Rois", a lancé le mot d'ordre "Nous n'avons pas de rois et nous ne céderons pas face au chaos, à la corruption et à la cruauté". Cette phrase est un appel à l'action qui met en garde contre le pouvoir absolu du président, qui est perçu comme une menace pour les libertés démocratiques. Le mouvement est soutenu par plus de 300 associations et a déjà mobilisé des millions de personnes en juin dernier.
Donald Trump avait menacé de répondre aux manifestants avec "une très grande force", mais il a déclaré lundi sur Fox News qu'il ne se considère pas comme un roi. Cependant, plusieurs figures du Parti républicain ont accusé les manifestants de s'engager dans une mobilisation haineuse contre l'Amérique et certains ont même comparés la protestation à du terrorisme.
Le chef républicain de la Chambre des représentants Mike Johnson a lancé une diatribe contre les manifestations, en mentionnant des groupes terroristes et allant jusqu'à comparer les manifestants aux antifas. L'élu démocrate du Minnesota Tom Emmer a accusé le parti républicain d'avoir cédé à "l'aile terroriste de leur parti".
Les manifestations samedi seront une occasion pour ces figures politiques de montrer leur solidarité avec Donald Trump et son administration, qui est perçue comme étant menaçante pour les droits civiques et les libertés publiques.
Plus de 2 700 rassemblements sont prévus samedi dans les grandes villes américaines, tandis que des milliers de personnes se mobiliseront dans les petites communes et à proximité de la résidence du président en Floride. Les organisateurs attendent plusieurs millions de participants, une estimation qui n'est pas balancée.
Le mouvement "No Kings", ou "Pas de Rois", a lancé le mot d'ordre "Nous n'avons pas de rois et nous ne céderons pas face au chaos, à la corruption et à la cruauté". Cette phrase est un appel à l'action qui met en garde contre le pouvoir absolu du président, qui est perçu comme une menace pour les libertés démocratiques. Le mouvement est soutenu par plus de 300 associations et a déjà mobilisé des millions de personnes en juin dernier.
Donald Trump avait menacé de répondre aux manifestants avec "une très grande force", mais il a déclaré lundi sur Fox News qu'il ne se considère pas comme un roi. Cependant, plusieurs figures du Parti républicain ont accusé les manifestants de s'engager dans une mobilisation haineuse contre l'Amérique et certains ont même comparés la protestation à du terrorisme.
Le chef républicain de la Chambre des représentants Mike Johnson a lancé une diatribe contre les manifestations, en mentionnant des groupes terroristes et allant jusqu'à comparer les manifestants aux antifas. L'élu démocrate du Minnesota Tom Emmer a accusé le parti républicain d'avoir cédé à "l'aile terroriste de leur parti".
Les manifestations samedi seront une occasion pour ces figures politiques de montrer leur solidarité avec Donald Trump et son administration, qui est perçue comme étant menaçante pour les droits civiques et les libertés publiques.