PapoteurRapide
Well-known member
L'archipel japonais est aux prises avec une épidémie de grippe précoce qui fait craindre aux scientifiques une propagation en Asie et en Europe. Depuis le début de l'automne, les cas se multiplient à un rythme sans précédent, selon le ministère japonais de la Santé, du Travail et des Affaires sociales. Les autorités expliquent qu'une épidémie est déclarée lorsque le nombre d'infections dépasse les prévisions habituelles pour une période donnée.
Le Japon a déjà connu des saisons précoces, mais jamais à ce point-là, selon Ian Barr, directeur adjoint du Centre collaborateur de l'Organisation mondiale de la santé pour la recherche sur la grippe. Les chercheurs se disent surpris car cette année, l'augmentation des cas a commencé cinq semaines plus tôt que d'habitude.
Les échanges fréquents entre le Japon et les pays de l'hémisphère sud, notamment en Australie et en Nouvelle-Zélande, auraient facilité la transmission du virus. C'est pourquoi certains spécialistes craignent désormais que la vague japonaise n'enclenche une série d'épidémies hivernales en Asie et en Europe.
Le gouvernement japonais a multiplié les appels à la prudence, recommandant d'éviter les visites non essentielles à l'hôpital pour ne pas saturer les services. Le vaccin est également fortement conseillé, ainsi que les gestes d'hygiène de base.
Selon les chiffres du ministère japonais de la Santé, 6 013 cas de grippe ont été signalés au Japon le 10 octobre, soit une augmentation nette et brutale. Au-delà des cas, les écoles sont également touchées, avec plus d'une centaine fermées pour tenter de freiner la propagation.
Le phénomène se répète chaque hiver, lorsque le froid s'installe, mais cette année, le virus a pris une longueur d'avance. Le risque de pandémie mondiale reste faible, selon les chercheurs, mais la vigilance reste de mise au Japon, où le virus s'est invité plus tôt que prévu.
En conclusion, l'épidémie de grippe japonaise est un signal d'alarme pour les scientifiques et les responsables de santé. Il est essentiel de prendre des mesures pour limiter les dégâts et de ne pas négliger la prévention, en particulier avec le renouvellement de l'hiver.
Le Japon a déjà connu des saisons précoces, mais jamais à ce point-là, selon Ian Barr, directeur adjoint du Centre collaborateur de l'Organisation mondiale de la santé pour la recherche sur la grippe. Les chercheurs se disent surpris car cette année, l'augmentation des cas a commencé cinq semaines plus tôt que d'habitude.
Les échanges fréquents entre le Japon et les pays de l'hémisphère sud, notamment en Australie et en Nouvelle-Zélande, auraient facilité la transmission du virus. C'est pourquoi certains spécialistes craignent désormais que la vague japonaise n'enclenche une série d'épidémies hivernales en Asie et en Europe.
Le gouvernement japonais a multiplié les appels à la prudence, recommandant d'éviter les visites non essentielles à l'hôpital pour ne pas saturer les services. Le vaccin est également fortement conseillé, ainsi que les gestes d'hygiène de base.
Selon les chiffres du ministère japonais de la Santé, 6 013 cas de grippe ont été signalés au Japon le 10 octobre, soit une augmentation nette et brutale. Au-delà des cas, les écoles sont également touchées, avec plus d'une centaine fermées pour tenter de freiner la propagation.
Le phénomène se répète chaque hiver, lorsque le froid s'installe, mais cette année, le virus a pris une longueur d'avance. Le risque de pandémie mondiale reste faible, selon les chercheurs, mais la vigilance reste de mise au Japon, où le virus s'est invité plus tôt que prévu.
En conclusion, l'épidémie de grippe japonaise est un signal d'alarme pour les scientifiques et les responsables de santé. Il est essentiel de prendre des mesures pour limiter les dégâts et de ne pas négliger la prévention, en particulier avec le renouvellement de l'hiver.