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« Le Venezuela n’est pas la prochaine frontière à remporter pour Donald Trump ». L’ex-ambassadrice du Venezuela auprès des Etats-Unis, Virginia Contreras, souligne que le président américain ne peut pas s’attaquer au régime vénézuélien de manière miracle.
Le Venezuela est sur le pied de guerre et Donald Trump a autorisé des opérations clandestines de la CIA contre Maduro. En agitant cette menace d'une intervention de la CIA, Trump parle surtout à son électorat hispanique, selon Virginia Contreras. La situation est très complexe et il existe plusieurs groupes d'opposition qui ne peuvent pas s'unir. Le gouvernement Maduro bénéficie encore d'aide des services de renseignement russes, iraniens, cubains et chinois.
"Le Venezuela prend cette menace très au sérieux", déclare Virginia Contreras. Ce pays a créé le Conseil national pour la souveraineté et la paix en septembre pour gérer cette crise. Mais il est peu probable que ces actions entraînent un changement dans la politique du gouvernement à court terme.
L'opposition vénézuélienne doit trouver un consensus pour parvenir à un accord, car il n'est pas utile que chacun reste de son côté en se considérant comme un petit roi. Face à Nicolás Maduro, une telle fragmentation n'a aucun sens.
Les tensions avec les Etats-Unis sont perçues dans la population vénézuélienne comme extrêmes. Certains pensent que le président Maduro est sur le point de fuir, tandis que d'autres restent sceptiques et ne croient pas aux solutions miraculeuses.
Le Venezuela est sur le pied de guerre et Donald Trump a autorisé des opérations clandestines de la CIA contre Maduro. En agitant cette menace d'une intervention de la CIA, Trump parle surtout à son électorat hispanique, selon Virginia Contreras. La situation est très complexe et il existe plusieurs groupes d'opposition qui ne peuvent pas s'unir. Le gouvernement Maduro bénéficie encore d'aide des services de renseignement russes, iraniens, cubains et chinois.
"Le Venezuela prend cette menace très au sérieux", déclare Virginia Contreras. Ce pays a créé le Conseil national pour la souveraineté et la paix en septembre pour gérer cette crise. Mais il est peu probable que ces actions entraînent un changement dans la politique du gouvernement à court terme.
L'opposition vénézuélienne doit trouver un consensus pour parvenir à un accord, car il n'est pas utile que chacun reste de son côté en se considérant comme un petit roi. Face à Nicolás Maduro, une telle fragmentation n'a aucun sens.
Les tensions avec les Etats-Unis sont perçues dans la population vénézuélienne comme extrêmes. Certains pensent que le président Maduro est sur le point de fuir, tandis que d'autres restent sceptiques et ne croient pas aux solutions miraculeuses.