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"La seule décision digne pour sortir de la crise : le départ anticipé d'Emmanuel Macron"
Édouard Philippe, ancien Premier ministre et président du parti Horizons, a réaffirmé jeudi 16 octobre que le départ anticipé d'Emmanuel Macron est "la seule décision digne qui permet d'éviter 18 mois" de crise politique. L'ancien chef de gouvernement, partisan d'une démission du président, affirme que "qui a créé cette situation de très grande instabilité et pourquoi ? Il se trouve que c'est lui".
La position de Philippe est marquée par une critique sévère des institutions politiques françaises. L'ancien Premier ministre déplore "une assemblée ingouvernable", "des politiques publiques qui n'avancent plus" et "des réformes nécessaires qui ne sont pas faites". Il considère que la crise actuelle est "très profonde sur l'autorité de l'État, sur la légitimité des institutions".
Edouard Philippe a également souligné les conséquences potentielles d'une démission anticipée d'Emmanuel Macron. L'ancien chef de gouvernement estime que le maintien du statu quo actuel entraînerait "18 mois de continuer à vivre dans cette situation de blocage, d'instabilité, d'indétermination".
L'évolution des réformes du parti Horizons, notamment la suspension de la réforme des retraites et l'abandon de l'emploi du 49.3 par Sébastien Lecornu, a également été critiquée par Philippe. Il considère que ces décisions sont "pari risqué" et qu'ils vont "voter contre".
Le ton de Philippe est caractérisé par une dénonciation des erreurs politiques de l'Élysée, ainsi que par une revendication de son propre rôle dans les événements politiques. Il assure ne pas avoir de "querelle" avec Macron, mais affirme avoir toujours dit ce qu'il pensait en toute loyauté.
Édouard Philippe, ancien Premier ministre et président du parti Horizons, a réaffirmé jeudi 16 octobre que le départ anticipé d'Emmanuel Macron est "la seule décision digne qui permet d'éviter 18 mois" de crise politique. L'ancien chef de gouvernement, partisan d'une démission du président, affirme que "qui a créé cette situation de très grande instabilité et pourquoi ? Il se trouve que c'est lui".
La position de Philippe est marquée par une critique sévère des institutions politiques françaises. L'ancien Premier ministre déplore "une assemblée ingouvernable", "des politiques publiques qui n'avancent plus" et "des réformes nécessaires qui ne sont pas faites". Il considère que la crise actuelle est "très profonde sur l'autorité de l'État, sur la légitimité des institutions".
Edouard Philippe a également souligné les conséquences potentielles d'une démission anticipée d'Emmanuel Macron. L'ancien chef de gouvernement estime que le maintien du statu quo actuel entraînerait "18 mois de continuer à vivre dans cette situation de blocage, d'instabilité, d'indétermination".
L'évolution des réformes du parti Horizons, notamment la suspension de la réforme des retraites et l'abandon de l'emploi du 49.3 par Sébastien Lecornu, a également été critiquée par Philippe. Il considère que ces décisions sont "pari risqué" et qu'ils vont "voter contre".
Le ton de Philippe est caractérisé par une dénonciation des erreurs politiques de l'Élysée, ainsi que par une revendication de son propre rôle dans les événements politiques. Il assure ne pas avoir de "querelle" avec Macron, mais affirme avoir toujours dit ce qu'il pensait en toute loyauté.