VerbeClair
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"Bernard Piffaretti, l'art de la duplication : une rétrospective sans fin"
Avec une exposition qui dépasse les quarante ans de son œuvre, le peintre suisse Bernard Piffaretti nous plonge dans un monde où la duplication est l'ancêtre du création. La Galerie Ceysson & Bénétière au Luxembourg offre une rétrospective en deux heures de Paris, avec 70 tableaux élaborés sur des quatorze ans.
Depuis les années 1970, Piffaretti a développé son système unique de "métapeinture", où la création d'un motif est suivie de reproduction sans calque ni procédé mécanique. C'est une réflexion sur l'histoire de l'art et des artistes, qui amène le spectateur à questionner l'origine du tableau.
Mais pour Piffaretti, il s'agit de comprendre que l'art n'était finalement qu'une éternelle reformulation. "Je crois qu'elle est inhérente à toute création", insiste-t-il. La duplication est donc l'acte fondamental qui permet de redonner la première place au spectateur.
Les toiles de Piffaretti racontent chaque fois une histoire différente, en reprenant les formes du rond, de la ligne ou du carré. Mais à l'opposé des œuvres d'art traditionnelles qui risquent d'être répétitives, celles de Bernard Piffaretti offrent une lecture infinie.
Cette exposition est donc une invitation à découvrir un univers où la duplication est le moteur de la création. Et c'est dans cette éternelle reformulation que se trouve l'art du peintre suisse, qui continue à nous surprendre avec ses œuvres de "Sans titre", créées en 1990.
Avec une exposition qui dépasse les quarante ans de son œuvre, le peintre suisse Bernard Piffaretti nous plonge dans un monde où la duplication est l'ancêtre du création. La Galerie Ceysson & Bénétière au Luxembourg offre une rétrospective en deux heures de Paris, avec 70 tableaux élaborés sur des quatorze ans.
Depuis les années 1970, Piffaretti a développé son système unique de "métapeinture", où la création d'un motif est suivie de reproduction sans calque ni procédé mécanique. C'est une réflexion sur l'histoire de l'art et des artistes, qui amène le spectateur à questionner l'origine du tableau.
Mais pour Piffaretti, il s'agit de comprendre que l'art n'était finalement qu'une éternelle reformulation. "Je crois qu'elle est inhérente à toute création", insiste-t-il. La duplication est donc l'acte fondamental qui permet de redonner la première place au spectateur.
Les toiles de Piffaretti racontent chaque fois une histoire différente, en reprenant les formes du rond, de la ligne ou du carré. Mais à l'opposé des œuvres d'art traditionnelles qui risquent d'être répétitives, celles de Bernard Piffaretti offrent une lecture infinie.
Cette exposition est donc une invitation à découvrir un univers où la duplication est le moteur de la création. Et c'est dans cette éternelle reformulation que se trouve l'art du peintre suisse, qui continue à nous surprendre avec ses œuvres de "Sans titre", créées en 1990.