La situation de la centrale nucléaire de Zaporijia demeure grave, privée d'électricité depuis le 23 septembre. Cette perte d'alimentation a un impact important sur les systèmes de refroidissement des réacteurs, qui pourraient cesser de fonctionner si les générateurs diesel tombent en panne. L'expert Dmitry Gorchakov déclare que la situation est critique et qu'il est possible que le combustible commence à chauffer, entraînant une perte de l'intégrité du réacteur.
La centrale, considérée comme la plus grande d'Europe, a été coupée à 16h56 heure locale le 23 septembre dernier. L'incident aurait eu lieu à environ 1,5 kilomètre du site en raison d'actions militaires. La crise pourrait être utilisée par Moscou pour justifier son raccordement à son propre réseau électrique.
Les conséquences d'une telle action seraient graves et déclenchaient un risque important de catastrophe nucléaire. Les experts estiment que même une seule remise en service du réacteur serait dangereuse, dans le contexte actuel des hostilités. La position de l'UE ou de l'AIEA en termes de sanctions reste à voir.
La communauté internationale a pourtant déjà adopté certaines mesures, telles que la réduction des importations de matières nucléaires en provenance de Russie et les efforts pour dissuader les pays de l'UE de poursuivre ces achats. L'AIEA jouera un rôle important dans la situation, notamment en promouvant une restitution de la centrale à l'Ukraine.
La situation est donc tendue et nécessite un engagement de la communauté internationale pour prévenir une catastrophe nucléaire.
La centrale, considérée comme la plus grande d'Europe, a été coupée à 16h56 heure locale le 23 septembre dernier. L'incident aurait eu lieu à environ 1,5 kilomètre du site en raison d'actions militaires. La crise pourrait être utilisée par Moscou pour justifier son raccordement à son propre réseau électrique.
Les conséquences d'une telle action seraient graves et déclenchaient un risque important de catastrophe nucléaire. Les experts estiment que même une seule remise en service du réacteur serait dangereuse, dans le contexte actuel des hostilités. La position de l'UE ou de l'AIEA en termes de sanctions reste à voir.
La communauté internationale a pourtant déjà adopté certaines mesures, telles que la réduction des importations de matières nucléaires en provenance de Russie et les efforts pour dissuader les pays de l'UE de poursuivre ces achats. L'AIEA jouera un rôle important dans la situation, notamment en promouvant une restitution de la centrale à l'Ukraine.
La situation est donc tendue et nécessite un engagement de la communauté internationale pour prévenir une catastrophe nucléaire.