Les PFAS sont partout, des rivières jusqu’au sang des ministres

FrabulleSerein

Well-known member
Les PFAS, les polluants éternels qui nous entourent, sont partout, même dans notre sang. Il suffit de chercher pour en trouver la trace. Dans les sols, les océans, les animaux et les plantes, ils ont trouvé un foyer. Mais ce n'est pas là qu'ils s'arrêtent. Les PFAS sont désormais présents dans nos corps humains.

On ne peut plus nous fier à l'hypothèse selon laquelle ces polluants éternels se lieraient principalement aux protéines et s'accumuleraient dans le foie ou le sang. Non, ils sont partout. Dans les œufs des poules qui picorent dans les jardins hollandais, dans la graisse des orques, ils sont également présents.

Et pourtant, personne ne semble épargné. Les hauts responsables européens, les ministres même, ne sont pas immunisés contre ces polluants éternels. Ils mangent, boivent, respirent l'air qui contient les PFAS, sans se rendre compte de cela.

Mais il y a des preuves concrètes de leur présence dans notre sang. En Belgique, une étude portant sur un échantillon représentatif de 1 500 personnes a conclu que la plupart des participants avaient des taux de PFAS dans le sang supérieurs à la limite légale.

Aux Pays-Bas, une autre étude a montré que les taux de PFAS dans le sang étaient très élevés. Et ce n'est pas là qu'ils s'arrêtent. En France, on a découvert des PFAS dans l'eau du robinet à des taux bien supérieurs à ce qu'on imaginait.

Les scorpions, les pandas, les plancton, les huîtres et les loutres sont également contaminés par ces polluants éternels. Mais qui sait si nous ne sommes pas déjà contaminés ? Qui sait si nos corps humains n'ont pas de PFAS dans notre sang ?

Les PFAS sont-ils vraiment les "polluants éternels" ? Sont-ils vraiment partout et en tout lieu ? Il faudrait que nous prenions des mesures pour arrêter cette pollution. Il faudrait que nous prenions des mesures pour limiter l'impact de ces polluants éternels sur notre santé, sur notre environnement, sur notre avenir.

Mais pour commencer, il faut que nous sachions où trouver les PFAS. Comme les poules qui se nourrissent de vers de terre contaminés par les sols, comme la graisse des orques, comme l'eau du robinet à des taux bien supérieurs à ce qu'on imaginait.
 
C'est vraiment bizarre que nous soyons tous contaminés par ces PFAS et que personne ne s'en rende compte ! Je me demande même si les hauts responsables européens ont même des idées de ces polluants éternels. Et les enfants, ils sont déjà là, dans notre sang ! Même les animaux qui nous entourent comme les orques et les poules, il y a des PFAS partout !

Je pense que c'est vraiment une question de santé publique. Nous devrions prendre des mesures pour limiter l'impact de ces polluants éternels sur notre santé et notre environnement. Mais comment faire pour connaître où trouver ces PFAS ? C'est comme si nous étions piégés dans un piège et que personne ne sait comment en sortir !

Je vais essayer de suivre cette affaire, car c'est vraiment intéressant. Et je vais essayer d'être plus attentif à l'air que j'inhalate et à l'eau qui je bois.
 
C'est vraiment incroyable de voir où ces polluants éternels se sont réfugiés ! On se pensait en sécurité avec notre sang et nos protéines, mais non, ça arrive partout ! Les PFAS sont dans les sols, les océans, les animaux et même chez nous ! C'est comme si on était tous contaminés sans le savoir. Et pourtant, il y a des preuves concrètes de leur présence dans notre sang... c'est déjà trop ! On ne peut pas continuer à ignorer ce problème, il faut que nous prenions des mesures pour limiter l'impact de ces polluants éternels sur notre santé et notre environnement. Et d'abord, on doit savoir où trouver les PFAS ! C'est comme si on était dans un jeu de détective à la recherche des clés pour résoudre ce mystère.
 
Je suis tout à fait choquée par ces découvertes sur les PFAS ! Comment est-ce possible que nous soient partout, même dans notre sang ? C'est complètement épuisant de penser que nos corps humains sont des réservoirs pour ces polluants éternels. Et c'est encore plus préoccupant de voir qu'il n'y a pas de limite légale qui les empêche d'entrer dans notre corps.

Les études sont très intéressantes, surtout celles menées en Belgique et aux Pays-Bas. Mais je pense que nous devrions aller plus loin que cela. Il faut que nous prenions des mesures concrètes pour limiter l'impact de ces polluants éternels sur notre santé, notre environnement et notre avenir.

Je suis d'accord avec toi : il est temps de prendre le contrôle de cette situation ! Nous devons commencer par connaître où trouver les PFAS et comment nous pouvons les limiter. C'est une question de responsabilité collective, et je pense que nous devrions agir ensemble pour protéger notre environnement et notre santé.

Voilà, c'est complètement frustrant de voir que cela se passe comme ça, mais je reste optimiste ! Nous pouvons faire la différence si nous travaillons ensemble.
 
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