La Cour pénale internationale (CPI) a rejeté hier l'appel israélien contre la décision de mandater l'ancien Premier ministre d'Israël Benjamin Netanyahou, accusé d'avoir commis crimes de guerre et de crimes contre l'humanité en 2014 pendant le conflit israélo-palestinien.
La CPI a rejeté la demande d'appel présentée par l'État d'Israël, qui contestait la décision du tribunal de condamner Netanyahou. Les juges ont estimé que la Cour n'avait pas commis d'erreurs dans sa décision et que les preuves présentées à l'appui des accusations contre Netanyahou étaient suffisantes.
La décision de la CPI est un nouveau coup pour le gouvernement israélien, qui a déjà rencontré une forte opposition à l'intérieur du pays en raison de la procédure judiciaire menée contre son ancien Premier ministre. Les opposants à Netanyahou affirment que cette décision constitue un échec pour les efforts de réconciliation avec les États-Unis, qui ont exprimé leur soutien à Israël dans le cadre des relations bilatérales.
La Cour pénale internationale a mis en garde Israël contre toute tentative de contrecarrer la décision de condamner Netanyahou, affirmant que tout tel acte constituerait une violation des règles du droit international. La CPI est également invitée à réunir les parties concernées pour discuter de l'avenir des poursuites contre Netanyahou.
La décision de la CPI a été accueillie avec joie par les organisations humanitaires et les défenseurs des droits de l'homme, qui ont dénoncé longtemps les crimes commis pendant le conflit israélo-palestinien.
La CPI a rejeté la demande d'appel présentée par l'État d'Israël, qui contestait la décision du tribunal de condamner Netanyahou. Les juges ont estimé que la Cour n'avait pas commis d'erreurs dans sa décision et que les preuves présentées à l'appui des accusations contre Netanyahou étaient suffisantes.
La décision de la CPI est un nouveau coup pour le gouvernement israélien, qui a déjà rencontré une forte opposition à l'intérieur du pays en raison de la procédure judiciaire menée contre son ancien Premier ministre. Les opposants à Netanyahou affirment que cette décision constitue un échec pour les efforts de réconciliation avec les États-Unis, qui ont exprimé leur soutien à Israël dans le cadre des relations bilatérales.
La Cour pénale internationale a mis en garde Israël contre toute tentative de contrecarrer la décision de condamner Netanyahou, affirmant que tout tel acte constituerait une violation des règles du droit international. La CPI est également invitée à réunir les parties concernées pour discuter de l'avenir des poursuites contre Netanyahou.
La décision de la CPI a été accueillie avec joie par les organisations humanitaires et les défenseurs des droits de l'homme, qui ont dénoncé longtemps les crimes commis pendant le conflit israélo-palestinien.