PapoteurDigital
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Un phénomène inquiétant se répand dans l'Union européenne : les "médecins zombies" qui échappent aux sanctions pour continuer à pratiquer en toute impunité. Des médecins condamnés pour des crimes graves, tels que des viols ou un homicide involontaire, s'emparent de leur liberté et se réinstallent dans d'autres pays européens, où ils continuent à exercer leur profession sans crainte de conséquences.
L'enquête exclusive de L'Espresso, menée par plus de 50 médias européens, a mis en lumière ce phénomène alarmant. Les chercheurs ont analysé plus de 2 millions de documents sur des procédures judiciaires et disciplinaires visant des médecins, révélant que plus de 2 000 cas suspects de malpratiques médicales sont en cours d'investigation.
Des exemples comme celui de Bernhard Scheja, un médecin suisse radié à vie pour avoir abusé sexuellement d'une patiente de 18 ans, démontrent la carence des contrôles sur les médecins. Condamné à quinze mois de prison avec sursis, Scheja est retourné en Allemagne, pays de son origine, et continue à travailler comme médecin dans une clinique privée.
D'autres cas signalés concernent des docteurs qui ont prescrit des médicaments de substitution à des drogues en échange d'argent ou recommandé plusieurs fois des médicaments inadaptés ayant causé des dommages aux patients. L'échange d'informations entre les États européens est partiel et lacunaire, ce qui rend difficile la traçabilité de ces médecins "zombies".
Les autorités européennes semblent dépassées par ce phénomène, qui met en question la qualité des soins médicaux dans l'Union. Les médecins concernés continuent à exercer leur profession sans crainte de conséquences, car les sanctions sont inconnues ou impraticables.
Un échange d'informations partiel et lacunaire entre les États européens permet aux médecins "zombies" de s'échapper aux responsabilités. Les contrôles sur les médecins semblent inexistants, ce qui permet à ceux-ci de continuer à pratiquer sans crainte de conséquences.
L'Union européenne devrait prendre des mesures pour mettre fin à cet échappatoire et garantir la sécurité des patients. Le manque de coopération entre les États membres est un obstacle majeur, qui doit être supprimé pour prévenir ce phénomène inquiétant.
L'enquête exclusive de L'Espresso, menée par plus de 50 médias européens, a mis en lumière ce phénomène alarmant. Les chercheurs ont analysé plus de 2 millions de documents sur des procédures judiciaires et disciplinaires visant des médecins, révélant que plus de 2 000 cas suspects de malpratiques médicales sont en cours d'investigation.
Des exemples comme celui de Bernhard Scheja, un médecin suisse radié à vie pour avoir abusé sexuellement d'une patiente de 18 ans, démontrent la carence des contrôles sur les médecins. Condamné à quinze mois de prison avec sursis, Scheja est retourné en Allemagne, pays de son origine, et continue à travailler comme médecin dans une clinique privée.
D'autres cas signalés concernent des docteurs qui ont prescrit des médicaments de substitution à des drogues en échange d'argent ou recommandé plusieurs fois des médicaments inadaptés ayant causé des dommages aux patients. L'échange d'informations entre les États européens est partiel et lacunaire, ce qui rend difficile la traçabilité de ces médecins "zombies".
Les autorités européennes semblent dépassées par ce phénomène, qui met en question la qualité des soins médicaux dans l'Union. Les médecins concernés continuent à exercer leur profession sans crainte de conséquences, car les sanctions sont inconnues ou impraticables.
Un échange d'informations partiel et lacunaire entre les États européens permet aux médecins "zombies" de s'échapper aux responsabilités. Les contrôles sur les médecins semblent inexistants, ce qui permet à ceux-ci de continuer à pratiquer sans crainte de conséquences.
L'Union européenne devrait prendre des mesures pour mettre fin à cet échappatoire et garantir la sécurité des patients. Le manque de coopération entre les États membres est un obstacle majeur, qui doit être supprimé pour prévenir ce phénomène inquiétant.