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L'armée française envisage de développer des technologies laser pour détruire des satellites ennemis, depuis le sol ou l'espace. C'est selon un document budgétaire pour 2026, qui évoque la création d'une première capacité d'action dans l'espace.
Ces technologies sont déjà en développement depuis plusieurs années, notamment par l'Office national d'études et de recherches aérospatiales (ONERA), en lien avec la Direction générale de l'armement (DGA). Des études existaient même depuis quatre ans, qui visaient à développer des technologies pour neutraliser les tentatives d'ingérences spatiales.
Le projet TOUTATIS est un démonstrateur qui implique deux nanosatellites. Le premier est un satellite guetteur pour surveiller l'espace en orbite basse, tandis que le second est très manœuvrant et peut jouer des scénarios de coopération/opposition.
Des tirs d'essai ont déjà été effectués sur les satellites de télédétection Spot, appartenant à la France. Ces essais ont permis d'éblouir les capteurs de l'engin, le rendant de fait hors service pour un temps.
Ces technologies laser sont économiques et peuvent être utilisées pour détruire des drones ou des missiles ennemis, plutôt que de lancer des missiles coûteux. Le laser peut également être utilisé pour aveugler les capteurs optiques d'un satellite, le rendant inopportun.
La capacité de défense active dans l'espace est un sujet en plein développement. L'espace s'arsenalise et les pays sont à la recherche de nouvelles technologies pour protéger leurs intérêts spatiaux. La France n'est pas seule dans cette démarche, car des autres pays comme Israël, les États-Unis, la Chine, l'Australie et le Royaume-Uni sont également en train de développer ces technologies.
Il faut cependant noter que la neutralisation des satellites ennemis est un sujet très sensible et peut avoir des implications stratégiques importantes. Les experts débattent sur les conséquences potentielles d'une telle capacité de défense active dans l'espace, notamment en termes de sécurité et de stabilité spatiale.
En tout cas, la France semble être prête à jouer un rôle actif dans le développement de ces technologies, ce qui pourrait avoir des implications importantes pour le futur du conflit spatial.
Ces technologies sont déjà en développement depuis plusieurs années, notamment par l'Office national d'études et de recherches aérospatiales (ONERA), en lien avec la Direction générale de l'armement (DGA). Des études existaient même depuis quatre ans, qui visaient à développer des technologies pour neutraliser les tentatives d'ingérences spatiales.
Le projet TOUTATIS est un démonstrateur qui implique deux nanosatellites. Le premier est un satellite guetteur pour surveiller l'espace en orbite basse, tandis que le second est très manœuvrant et peut jouer des scénarios de coopération/opposition.
Des tirs d'essai ont déjà été effectués sur les satellites de télédétection Spot, appartenant à la France. Ces essais ont permis d'éblouir les capteurs de l'engin, le rendant de fait hors service pour un temps.
Ces technologies laser sont économiques et peuvent être utilisées pour détruire des drones ou des missiles ennemis, plutôt que de lancer des missiles coûteux. Le laser peut également être utilisé pour aveugler les capteurs optiques d'un satellite, le rendant inopportun.
La capacité de défense active dans l'espace est un sujet en plein développement. L'espace s'arsenalise et les pays sont à la recherche de nouvelles technologies pour protéger leurs intérêts spatiaux. La France n'est pas seule dans cette démarche, car des autres pays comme Israël, les États-Unis, la Chine, l'Australie et le Royaume-Uni sont également en train de développer ces technologies.
Il faut cependant noter que la neutralisation des satellites ennemis est un sujet très sensible et peut avoir des implications stratégiques importantes. Les experts débattent sur les conséquences potentielles d'une telle capacité de défense active dans l'espace, notamment en termes de sécurité et de stabilité spatiale.
En tout cas, la France semble être prête à jouer un rôle actif dans le développement de ces technologies, ce qui pourrait avoir des implications importantes pour le futur du conflit spatial.