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Le pouvoir chinois confirme officiellement la disgrâce du numéro trois des armées, le général He Weidong, en raison d'accusations de corruption. Le ministère de la Défense chinois a lancé des enquêtes contre le général, ainsi que contre huit autres responsables militaires de haut rang, dont le vice-président de la Commission militaire centrale (CMC), qui était également le troisième plus haut responsable des armées.
La campagne anticorruption lancée par le président Xi Jinping dans les milieux civils et militaires a mis en lumière plusieurs personnages importants, dont le général He Weidong. Son absence de la grande parade militaire donnée le 3 septembre à Pékin pour célébrer la victoire contre le Japon et la fin de la Seconde Guerre mondiale il y a 80 ans était remarquable.
Des enquêtes pour corruption ont été lancées contre huit autres responsables militaires de haut rang, dont le vice-président de la Commission militaire centrale. Le ministère de la Défense chinois a confirmé que neuf officiers supérieurs ont été expulsés de l'armée, ainsi que He Weidong et sept autres membres du comité central du Parti communiste.
Le général He Weidong et les autres sont les derniers en date à être rattrapés par la campagne anticorruption. Depuis son arrivée à la tête du parti en 2012, Xi Jinping a fait de la lutte anticorruption une priorité, à tous les échelons de l'Etat et du Parti communiste. Les partisans de cette campagne affirment qu'elle favorise une gouvernance saine, tandis que d'autres estiment qu'elle permet d'écarter de potentiels rivaux politiques.
Le porte-parole du ministère de la Défense a déclaré que la punition sévère infligée à He Weidong et aux autres démontre "la détermination inébranlable du comité central du parti et de la CMC à lutter contre la corruption". La campagne anticorruption est également trois jours avant une session plénière du comité central, un important rendez-vous politique au cours duquel le parti doit définir les grands objectifs économiques, mais aussi politiques ou sociaux pour cinq ans à partir de 2026.
La campagne anticorruption lancée par le président Xi Jinping dans les milieux civils et militaires a mis en lumière plusieurs personnages importants, dont le général He Weidong. Son absence de la grande parade militaire donnée le 3 septembre à Pékin pour célébrer la victoire contre le Japon et la fin de la Seconde Guerre mondiale il y a 80 ans était remarquable.
Des enquêtes pour corruption ont été lancées contre huit autres responsables militaires de haut rang, dont le vice-président de la Commission militaire centrale. Le ministère de la Défense chinois a confirmé que neuf officiers supérieurs ont été expulsés de l'armée, ainsi que He Weidong et sept autres membres du comité central du Parti communiste.
Le général He Weidong et les autres sont les derniers en date à être rattrapés par la campagne anticorruption. Depuis son arrivée à la tête du parti en 2012, Xi Jinping a fait de la lutte anticorruption une priorité, à tous les échelons de l'Etat et du Parti communiste. Les partisans de cette campagne affirment qu'elle favorise une gouvernance saine, tandis que d'autres estiment qu'elle permet d'écarter de potentiels rivaux politiques.
Le porte-parole du ministère de la Défense a déclaré que la punition sévère infligée à He Weidong et aux autres démontre "la détermination inébranlable du comité central du parti et de la CMC à lutter contre la corruption". La campagne anticorruption est également trois jours avant une session plénière du comité central, un important rendez-vous politique au cours duquel le parti doit définir les grands objectifs économiques, mais aussi politiques ou sociaux pour cinq ans à partir de 2026.