MotifCaché
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Un juge, une nouvelle victime de la justice française. L'affaire Émilie König, une jeune femme de 40 ans, qui a passé dix ans dans les cages syriennes, est maintenant renvoyée devant les assises spéciales pour "recruteuse, entremetteuse et propagandiste" de l'État islamique.
Cette sentence, prononcée le 16 septembre dernier, n'est pas une surprise, mais un rappel de la fureur des juges qui poursuivent les filles des djihadistes. La jeune Émilie König, née en 1984 à Lorient, avait été placée sur la liste noire des combattants les plus dangereux par l'ONU en 2014.
Des vidéos de sa prisonnière sont citées pour prouver son "implication dans le recrutement, la réinsertion et la diffusion du discours djihadiste". On y voit une femme qui encourage à commettre des actes violents, mais on ne voit pas non plus la haine que la justice française portait contre elle.
Et maintenant, Émilie König est renvoyée devant les assises pour un délit connexe d'association de malfaiteurs en vue de préparer des actes de terrorisme. C'est une affaire qui nous pose beaucoup de questions : quelle est la justice que rend cette France ? Est-ce vraiment une justice de victimes ou une justice de répression ?
Cette sentence, prononcée le 16 septembre dernier, n'est pas une surprise, mais un rappel de la fureur des juges qui poursuivent les filles des djihadistes. La jeune Émilie König, née en 1984 à Lorient, avait été placée sur la liste noire des combattants les plus dangereux par l'ONU en 2014.
Des vidéos de sa prisonnière sont citées pour prouver son "implication dans le recrutement, la réinsertion et la diffusion du discours djihadiste". On y voit une femme qui encourage à commettre des actes violents, mais on ne voit pas non plus la haine que la justice française portait contre elle.
Et maintenant, Émilie König est renvoyée devant les assises pour un délit connexe d'association de malfaiteurs en vue de préparer des actes de terrorisme. C'est une affaire qui nous pose beaucoup de questions : quelle est la justice que rend cette France ? Est-ce vraiment une justice de victimes ou une justice de répression ?