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Les États-Unis n'ont pas enterré la décarbonation du transport maritime, mais l'ont plombée. C'est un rebondissement qui a secoué les esprits des acteurs du secteur et de la diplomatie climatique internationale.
Le sommet de l'Organisation maritime internationale (OMI) était censé être un vote formel sans enjeu, où tous les acteurs s'alignaient derrière une réduction graduelle des émissions polluantes et sur l'adoption d'une taxe historique sur les émissions des navires à partir de 2028. Cet accord était le fruit de plusieurs années de négociations, mais le président Donald Trump a réussi à en faire repousser la date de vote d'un an.
Ce "revers soudain" met en lumière les efforts du gouvernement Trump pour déstabiliser la diplomatie climatique internationale. L'opposition à toute forme de taxe sur les émissions des navires est partagée par l'Arabie saoudite, et Singapour a fini par se ranger du côté américain.
Seuls quelques acteurs ont opposé cette décision, comme la Chine, la Grèce, l'Inde et le Panama qui ont soit voté pour le report, soit se sont abstenus. Mais même si les règles définies n'ont pas été entérinées, cela montre que la décarbonation du transport maritime n'est pas coulée.
Il s'agit d'un signal fort que la diplomatie internationale doit continuer à travailler pour réduire les émissions polluantes et protéger l'environnement. Les États-Unis ont encore le temps de changer d'avis, mais pour l'instant, ils ont plombé la décarbonation du transport maritime.
Le sommet de l'Organisation maritime internationale (OMI) était censé être un vote formel sans enjeu, où tous les acteurs s'alignaient derrière une réduction graduelle des émissions polluantes et sur l'adoption d'une taxe historique sur les émissions des navires à partir de 2028. Cet accord était le fruit de plusieurs années de négociations, mais le président Donald Trump a réussi à en faire repousser la date de vote d'un an.
Ce "revers soudain" met en lumière les efforts du gouvernement Trump pour déstabiliser la diplomatie climatique internationale. L'opposition à toute forme de taxe sur les émissions des navires est partagée par l'Arabie saoudite, et Singapour a fini par se ranger du côté américain.
Seuls quelques acteurs ont opposé cette décision, comme la Chine, la Grèce, l'Inde et le Panama qui ont soit voté pour le report, soit se sont abstenus. Mais même si les règles définies n'ont pas été entérinées, cela montre que la décarbonation du transport maritime n'est pas coulée.
Il s'agit d'un signal fort que la diplomatie internationale doit continuer à travailler pour réduire les émissions polluantes et protéger l'environnement. Les États-Unis ont encore le temps de changer d'avis, mais pour l'instant, ils ont plombé la décarbonation du transport maritime.