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Les compagnies aériennes européennes font face à une nouvelle réforme qui pourrait changer leur situation financière. L'Union européenne a adopté un nouveau règlement sur les indemnisations des passagers, qui prévoit des indemnisations différentes en fonction du retard et de la distance du vol.
Selon le barème proposé par la Commission européenne, les passagers pourraient recevoir entre 250 euros pour les vols de moins de 1 500 km et 600 euros pour ceux de plus de 3 500 km. Cependant, cette réforme a été largement critiquée par les associations de consommateurs, qui estiment que les compagnies aériennes ne feront pas de efforts suffisants pour minimiser les retards.
Marie-Amandine Stévenin, présidente de l'association UFC-Que Choisir, a déclaré que "en mettant la barre de retard à neuf heures au lieu de trois heures pour les vols qui sont de 3 500 kilomètres, le passager perd 600 euros". Elle souligne également que 75% des passagers seraient exclus du droit à indemnisation avec cette réforme.
Mais il y a une bonne nouvelle : le Comité des Transports et du Tourisme du Parlement européen (TRAN) s'est prononcé en faveur du maintien des conditions actuelles d'indemnisations. Le TRAN pourrait même demander de porter le dédommagement à 300 euros pour tous les retards supérieurs à trois heures de plus de 1 500 kilomètres.
Les chiffres sont criants : plus de la moitié des demandes éligibles ont été rejetées dans un premier temps sans aucune raison valable, ce qui renoncerait de nombreux passagers. Les conditions météorologiques sont souvent invoquées pour refuser les indemnisations, ainsi que des documents des passagers non valides ou des demandes sans explication.
Selon le barème proposé par la Commission européenne, les passagers pourraient recevoir entre 250 euros pour les vols de moins de 1 500 km et 600 euros pour ceux de plus de 3 500 km. Cependant, cette réforme a été largement critiquée par les associations de consommateurs, qui estiment que les compagnies aériennes ne feront pas de efforts suffisants pour minimiser les retards.
Marie-Amandine Stévenin, présidente de l'association UFC-Que Choisir, a déclaré que "en mettant la barre de retard à neuf heures au lieu de trois heures pour les vols qui sont de 3 500 kilomètres, le passager perd 600 euros". Elle souligne également que 75% des passagers seraient exclus du droit à indemnisation avec cette réforme.
Mais il y a une bonne nouvelle : le Comité des Transports et du Tourisme du Parlement européen (TRAN) s'est prononcé en faveur du maintien des conditions actuelles d'indemnisations. Le TRAN pourrait même demander de porter le dédommagement à 300 euros pour tous les retards supérieurs à trois heures de plus de 1 500 kilomètres.
Les chiffres sont criants : plus de la moitié des demandes éligibles ont été rejetées dans un premier temps sans aucune raison valable, ce qui renoncerait de nombreux passagers. Les conditions météorologiques sont souvent invoquées pour refuser les indemnisations, ainsi que des documents des passagers non valides ou des demandes sans explication.