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Le colonel Michael Randrianirina, le "président de la Refondation" de Madagascar, a pris son temps pour choisir son successeur au poste de Premier ministre. Aujourd'hui, mercredi 20 octobre, il a fait connaître son choix : Herintsalama Rajaonarivelo. Un homme d'affaires expérimenté et spécialiste des petites et moyennes entreprises.
Cette nomination n'a pas échappé à l'attention des observateurs politiques qui voient dans ce recrutement un effort de légitimation pour le chef du gouvernement. "J'ai appliqué la Constitution avec exactitude", a précisé le colonel Randrianirina, en référence à l'article 54 qui permet aux députés de nommer leur successeur au poste de Premier ministre.
Son choix est né devenu plus clair après une décennie passée sous son leadership dans le domaine du patronat malgache. Rajaonarivelo a été en 2020 président du conseil d'administration de la Banque nationale de l'Industrie, un poste qu'il a occupé pendant une décennie et que nous avons déjà signalé, pour être à la pointe du secteur bancaire malgache.
Cette nomination suscite des réactions contrastées. Les députés ont approuvé le choix de ce technocrate au profil stable, mais les critiques estiment qu'il s'agit d'un acte politique qui ne répond pas aux attentes de la société civile et de la jeunesse.
Cette nomination n'a pas échappé à l'attention des observateurs politiques qui voient dans ce recrutement un effort de légitimation pour le chef du gouvernement. "J'ai appliqué la Constitution avec exactitude", a précisé le colonel Randrianirina, en référence à l'article 54 qui permet aux députés de nommer leur successeur au poste de Premier ministre.
Son choix est né devenu plus clair après une décennie passée sous son leadership dans le domaine du patronat malgache. Rajaonarivelo a été en 2020 président du conseil d'administration de la Banque nationale de l'Industrie, un poste qu'il a occupé pendant une décennie et que nous avons déjà signalé, pour être à la pointe du secteur bancaire malgache.
Cette nomination suscite des réactions contrastées. Les députés ont approuvé le choix de ce technocrate au profil stable, mais les critiques estiment qu'il s'agit d'un acte politique qui ne répond pas aux attentes de la société civile et de la jeunesse.