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La première année de Prabowo Subianto sous le feu des critiques est désormais en route d'expirer, mais l'indonésien demeure dans les yeux du monde. Le président a franchi un cap important mardi dernier, et il y a encore un peu plus d'une semaine que la date limite de son premier mandat.
Le pays se retrouve sous le feu des critiques pour les contestations sociales parfois violentes qui ont éclaté au cours de cette période. Les manifestations populaires contre une série de coupes budgétaires et l'augmentation du budget militaire ont laissé leurs marqueur, notamment avec l'usage excessif de la force contre des manifestants antigouvernementaux fin août.
Des milliers d'étudiants ont été hospitalisés après avoir consommé des repas scolaires gratuits offerts par Prabowo Subianto, ce qui s'est terminé par 6 400 cas de maladies alimentaires. Le gouvernement est accusé d'une impréparation et d'un manque de transparence dans la gestion de ces programmes.
Les critiques sont nombreuses quant à l'augmentation de 30% du budget de défense, qui a été mis en œuvre par Prabowo Subianto pour renforcer les forces armées. L'exercice de ces dernières est devenu de plus en plus visible dans la vie politique.
Les groupes de défense des droits humains ont crié à l'alarme quant à cette militarisation croissante du gouvernement, notamment après avoir adopté une loi qui élargit le rôle de l'armée dans les postes civils.
Le pays se retrouve sous le feu des critiques pour les contestations sociales parfois violentes qui ont éclaté au cours de cette période. Les manifestations populaires contre une série de coupes budgétaires et l'augmentation du budget militaire ont laissé leurs marqueur, notamment avec l'usage excessif de la force contre des manifestants antigouvernementaux fin août.
Des milliers d'étudiants ont été hospitalisés après avoir consommé des repas scolaires gratuits offerts par Prabowo Subianto, ce qui s'est terminé par 6 400 cas de maladies alimentaires. Le gouvernement est accusé d'une impréparation et d'un manque de transparence dans la gestion de ces programmes.
Les critiques sont nombreuses quant à l'augmentation de 30% du budget de défense, qui a été mis en œuvre par Prabowo Subianto pour renforcer les forces armées. L'exercice de ces dernières est devenu de plus en plus visible dans la vie politique.
Les groupes de défense des droits humains ont crié à l'alarme quant à cette militarisation croissante du gouvernement, notamment après avoir adopté une loi qui élargit le rôle de l'armée dans les postes civils.