Une jeune femme a avoué avoir pété un plomb après tuer une petite fille de 12 ans, accusée d'avoir tué la jeune Lola. La garde à vue, Dahbia Benkired, avait déjà déclaré avoir commis un crime "impitoyable", mais personne ne s'était attendu à ce qu'elle évoque l'utilisation d'un médicament.
La veille de la mort de Lola, Dahbia Benkired a pris trois comprimés de Lyrica, utilisé pour les troubles anxieux généralisés et l'épilepsie. C'est cette prise qui lui a "mise dans cet état", selon sa propre déclaration. Le lendemain, elle a "pété un plomb".
"Je sais que j'ai tué un bébé, un ange", avait déjà avoué Dahbia Benkired lors de sa garde à vue, mais maintenant elle développe ses explications. Elle explique qu'elle avait pris le médicament pour avoir un rapport sexuel qui n'aurait jamais lieu. Mais ce n'est pas la seule raison.
Dahbia Benkired avoue en outre avoir pris plusieurs doses de Lyrica pour se procurer des relations sexuelles, alors même si elle ne réussit pas à coucher avec la personne qu'elle souhaite. "On lâche prise", selon ses propres mots.
La jeune femme est également interrogée sur les effets du Lyrica. La défense lui demande si ce médicament l'aurait poussé à passer à l'acte. Dahbia Benkired répond que oui, sous-entendant que cette dose était trop élevée.
La veille de la mort de Lola, Dahbia Benkired a pris trois comprimés de Lyrica, utilisé pour les troubles anxieux généralisés et l'épilepsie. C'est cette prise qui lui a "mise dans cet état", selon sa propre déclaration. Le lendemain, elle a "pété un plomb".
"Je sais que j'ai tué un bébé, un ange", avait déjà avoué Dahbia Benkired lors de sa garde à vue, mais maintenant elle développe ses explications. Elle explique qu'elle avait pris le médicament pour avoir un rapport sexuel qui n'aurait jamais lieu. Mais ce n'est pas la seule raison.
Dahbia Benkired avoue en outre avoir pris plusieurs doses de Lyrica pour se procurer des relations sexuelles, alors même si elle ne réussit pas à coucher avec la personne qu'elle souhaite. "On lâche prise", selon ses propres mots.
La jeune femme est également interrogée sur les effets du Lyrica. La défense lui demande si ce médicament l'aurait poussé à passer à l'acte. Dahbia Benkired répond que oui, sous-entendant que cette dose était trop élevée.