TchatcheurNomadePro
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Les conservateurs allemands sont de retour à la chasse aux alliances, malgré les réticences du gouvernement. La question de savoir si l'Alternative pour l'Allemagne (AfD) peut être une partenaire nationale est au cœur des débats.
La direction de la chrétienne-démocrate allemande (CDU), qui a toujours refusé toute coopération avec le parti d'extrême droite, pourrait modifier sa ligne. Peter Tauber, ancien secrétaire général du groupe de droite chrétienne à l'époque de la chancelière Angela Merkel, estime que la CDU ne devrait pas aborder chaque sujet en fonction des positions de l'AfD.
Selon les médias d'investigation correctiv et le tagesspiegel, certains ténors de la formation sont prêts à assouplir la règle selon laquelle toute coopération avec l'extrême droite est proscrite au niveau national. Jens Spahn, chef du groupe parlementaire CDU-CSU, aurait même une tendance à accepter des rapprochements ponctuels avec l'AfD.
Cependant, le gouvernement conservateur de Friedrich Merz a rejeté ces idées. Selon lui, il n'y a pas besoin d'alliances avec un parti comme l'Alternative pour l'Allemagne, qui est considéré comme une force extrémiste. Les débats sont loin d'être clos et la question reste ouverte.
En Saxe-Anhalt, où les élections vont avoir lieu prochainement, certains politiciens espèrent que des rapprochements avec l'AfD pourraient être bénéfiques. Mais le gouvernement conserve une position ferme à cet égard.
La direction de la chrétienne-démocrate allemande (CDU), qui a toujours refusé toute coopération avec le parti d'extrême droite, pourrait modifier sa ligne. Peter Tauber, ancien secrétaire général du groupe de droite chrétienne à l'époque de la chancelière Angela Merkel, estime que la CDU ne devrait pas aborder chaque sujet en fonction des positions de l'AfD.
Selon les médias d'investigation correctiv et le tagesspiegel, certains ténors de la formation sont prêts à assouplir la règle selon laquelle toute coopération avec l'extrême droite est proscrite au niveau national. Jens Spahn, chef du groupe parlementaire CDU-CSU, aurait même une tendance à accepter des rapprochements ponctuels avec l'AfD.
Cependant, le gouvernement conservateur de Friedrich Merz a rejeté ces idées. Selon lui, il n'y a pas besoin d'alliances avec un parti comme l'Alternative pour l'Allemagne, qui est considéré comme une force extrémiste. Les débats sont loin d'être clos et la question reste ouverte.
En Saxe-Anhalt, où les élections vont avoir lieu prochainement, certains politiciens espèrent que des rapprochements avec l'AfD pourraient être bénéfiques. Mais le gouvernement conserve une position ferme à cet égard.