L'Assemblée nationale s'apprête à affronter le défi du budget 2026, un texte qui suscite des réserves quant aux économies proposées par le gouvernement. Le rythme de travail sera certainement soutenu, car le vote est prévu pour le 4 novembre, et les débats seront probablement houleux. Les économistes considèrent que les efforts d'économie demandés sont insuffisants, étant donné la situation financière préoccupante du pays.
Selon Richard Werly, le calcul des intérêts de la dette est beaucoup plus élevé, avec une charge annuelle de 50 à 60 milliards d'euros. "C'est dire que le compte n'y est pas", souligne-t-il. Le problème se poserait également à déterminer si un texte réunissant une majorité au Parlement sera possible.
Le gouvernement a présenté des économies de 30 milliards d'euros, mais la presse étrangère considère que ces chiffres sont trop faibles étant donné la situation financière du pays. La guerre de tranchées est-elle à l'ordre du jour ?
Selon Richard Werly, le calcul des intérêts de la dette est beaucoup plus élevé, avec une charge annuelle de 50 à 60 milliards d'euros. "C'est dire que le compte n'y est pas", souligne-t-il. Le problème se poserait également à déterminer si un texte réunissant une majorité au Parlement sera possible.
Le gouvernement a présenté des économies de 30 milliards d'euros, mais la presse étrangère considère que ces chiffres sont trop faibles étant donné la situation financière du pays. La guerre de tranchées est-elle à l'ordre du jour ?